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Un article en ligne du journal Le Point explique qu’ « à Paris, le CAC 40 a abandonné plus de 3,2 % et, à Francfort, le Dax a reculé de 3,3 %, dans un mouvement généralisé. Mardi matin, les Bourses asiatiques ont continué le mouvement. À Tokyo, l'indice phare de la Bourse japonaise a chuté de plus de 5 %. » Selon l’article il ne s'agit cependant que de « l'accentuation d'un véritable cauchemar boursier entamé au début de l'année 2016. Depuis le 1er janvier, le CAC 40 a perdu plus de 12 % de sa valeur. En six mois, 22 % de sa valeur s'est évaporée. »
La Grèce en question
Le Point souligne que « tous les prétextes semblent bons pour vendre les actions. À la crainte d'un possible atterrissage brutal de l'économie chinoise s'ajoute désormais une inquiétude sur les banques italiennes et grecques. À Athènes, l'indice a chuté de 7,87 % lundi, plombé par les valeurs bancaires qui se sont effondrées de … 17,65 % en moyenne. » De plus, « les banques grecques viennent pourtant d'être recapitalisées en décembre, grâce à 5,7 milliards d'euros de fonds européens. Mais l'inquiétude monte sur leur sort alors que le gouvernement d'Alexis Tsipras peine à s'entendre avec ses créanciers européens sur la réforme des retraites exigée en échange du troisième plan d'aide de 86 milliards d'euros négocié l'été dernier. »
L’article précise également la situation en Italie : « les banques sont plombées par l'ampleur des créances douteuses – dont le remboursement n'est pas du tout assuré – qu'elles détiennent à leur bilan. La Banque centrale européenne les a évaluées à 200 milliards, un chiffre colossal qui pourrait nécessiter la recapitalisation de certains établissements. Beaucoup d'investisseurs ne veulent plus investir dans des établissements qui seraient sauvés non plus d'abord par le contribuable en cas de faillite mais par leurs actionnaires et créanciers. »
Ainsi, « c'est l'ensemble du secteur bancaire européen qui se met à souffrir, par effet de contagion. Malgré l'annonce de solides profits de plus de sept milliards d'euros en 2015, BNP a ainsi perdu 5,47 % lundi, dans le sillage des autres banques françaises. »
Lire l’intégralité de l’article du Point ici.
L’article précise également la situation en Italie : « les banques sont plombées par l'ampleur des créances douteuses – dont le remboursement n'est pas du tout assuré – qu'elles détiennent à leur bilan. La Banque centrale européenne les a évaluées à 200 milliards, un chiffre colossal qui pourrait nécessiter la recapitalisation de certains établissements. Beaucoup d'investisseurs ne veulent plus investir dans des établissements qui seraient sauvés non plus d'abord par le contribuable en cas de faillite mais par leurs actionnaires et créanciers. »
Ainsi, « c'est l'ensemble du secteur bancaire européen qui se met à souffrir, par effet de contagion. Malgré l'annonce de solides profits de plus de sept milliards d'euros en 2015, BNP a ainsi perdu 5,47 % lundi, dans le sillage des autres banques françaises. »
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