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Depuis bientôt deux ans les acteurs du tourisme parisien doivent tenir sans savoir où s’arrêtera leur agonie. « Au printemps 2020, les hôteliers guettaient septembre. A l’automne, ils attendaient le printemps 2021, et c’est un cycle qui leur semble désormais sans fin car la rentrée se présente, mais pas les clients. Les vigies sortent la longue-vue : déjà, on allume un cierge pour les fêtes de fin d’année. Début août, un tiers seulement des professionnels interrogés par le comité régional du tourisme anticipaient une évolution positive de leur activité à la rentrée » résume Le Monde.
Éternel recommencement que ces périodes où l’on demande aux hôtels de s’accrocher aux aides publiques pour préparer le retour des touristes qui ne reviennent pas. « L’été fut, sans surprise, aussi maussade que la météo, quoiqu’en progression comparé à 2020. L’Ile-de-France, où le tourisme représente 9 % de l’emploi salarié et 7 % du produit intérieur brut, a regardé avec envie les littoraux déborder de monde, à peine perturbés par l’irruption du passe sanitaire au cœur de l’été. La Compagnie des bateaux-mouches n’a vogué que le week-end, à partir de la fin juillet. La clientèle de proximité a assuré la fréquentation du Parc Astérix et de Disneyland Paris, où la jauge de 28 000 visiteurs quotidiens est régulièrement atteinte, selon une source syndicale. Mais la tour Eiffel compte trois fois moins de visiteurs qu’à la même période en temps normal, le Louvre quatre fois moins. Les Français y sont en majorité » poursuit le quotidien.
Durant la période estivale, le nombre de touristes en région parisienne est aux alentours de 4 millions, ce qui représente environ la moitié du niveau de 2019. Des chiffres qui s’expliquent par le fait que Paris est une ville qui attire des touristes du monde entier. Contrairement à la Normandie, la Bretagne ou d’autres lieux touristiques prisés par les Français, tant que le Covid sera d’actualité dans le monde les hôtels et lieux touristiques de la capitale seront à la peine.
Éternel recommencement que ces périodes où l’on demande aux hôtels de s’accrocher aux aides publiques pour préparer le retour des touristes qui ne reviennent pas. « L’été fut, sans surprise, aussi maussade que la météo, quoiqu’en progression comparé à 2020. L’Ile-de-France, où le tourisme représente 9 % de l’emploi salarié et 7 % du produit intérieur brut, a regardé avec envie les littoraux déborder de monde, à peine perturbés par l’irruption du passe sanitaire au cœur de l’été. La Compagnie des bateaux-mouches n’a vogué que le week-end, à partir de la fin juillet. La clientèle de proximité a assuré la fréquentation du Parc Astérix et de Disneyland Paris, où la jauge de 28 000 visiteurs quotidiens est régulièrement atteinte, selon une source syndicale. Mais la tour Eiffel compte trois fois moins de visiteurs qu’à la même période en temps normal, le Louvre quatre fois moins. Les Français y sont en majorité » poursuit le quotidien.
Durant la période estivale, le nombre de touristes en région parisienne est aux alentours de 4 millions, ce qui représente environ la moitié du niveau de 2019. Des chiffres qui s’expliquent par le fait que Paris est une ville qui attire des touristes du monde entier. Contrairement à la Normandie, la Bretagne ou d’autres lieux touristiques prisés par les Français, tant que le Covid sera d’actualité dans le monde les hôtels et lieux touristiques de la capitale seront à la peine.