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Un nouveau grand manitou du jouet en France est sur le point d’émerger. L’annonce de la reprise du groupe Ludendo -maison mère de La Grande Récré – par son patron grâce au soutien de la Financière immobilière bordelaise (FIB) est le coup d’envoi d’une restructuration complète du secteur français. « Gérant notamment 22 Galeries Lafayette en franchise sur le territoire français, le fonds d'investissement dans l'immobilier commercial dirigé par Michel Ohayon est parallèlement en lice pour reprendre la filiale française de Toys'R'Us, elle aussi en redressement judiciaire » rapporte Le Figaro .
C’est un nouveau coup de maitre de Michel Ohayon qui, si sa tentative sur Toys’R’Us débouchait, s’imposerait comme l’acteur numéro un du jouet en France. D’autant que pour Ludendo, le groupement Fnac Darty s’était également positionné.
« Mercredi 3 octobre, ce sera au tour de la filiale française de Toys'R'Us d'être fixée sur son sort. Le tribunal de commerce d'Evry devra départager trois offres concurrentes : l'une menée là encore par la FIB, l'autre par Pierre Mestre, fondateur et patron du groupe Orchestra, spécialisé dans la puériculture, mode enfant et maternité et la troisième venant de Jellej Jouets, société contrôlée par le fonds d'investissement Cyrus Capital, et Picwic, fondée par Stéphane Mulliez. Cyrus Capital est par ailleurs l'un des créanciers de la maison mère américaine de Toys'R'Us » résume le quotidien français.
Que FIB réussisse ou non le coup de force de mettre dans son giron ces deux géants qui représentent en cumulé 18% des parts de marché, la tâche s’avère ardue. Les acteurs du jouet doivent travailler à prendre le virage numérique et se réorganiser. « Les différents candidats à la reprise de Toys'R'Us comme de La Grande Récré entendent ainsi transformer le modèle économique des magasins, pour en faire des lieux de vie ludique ou des enseignes offrant tout l'éventail des produits pour enfants, des vêtements aux jouets en passant par la puériculture. Ils estiment que seule une adaptation et une offre différenciée pourront permettre à ces groupes de survivre à la concurrence » analyse Le Figaro.
C’est un nouveau coup de maitre de Michel Ohayon qui, si sa tentative sur Toys’R’Us débouchait, s’imposerait comme l’acteur numéro un du jouet en France. D’autant que pour Ludendo, le groupement Fnac Darty s’était également positionné.
« Mercredi 3 octobre, ce sera au tour de la filiale française de Toys'R'Us d'être fixée sur son sort. Le tribunal de commerce d'Evry devra départager trois offres concurrentes : l'une menée là encore par la FIB, l'autre par Pierre Mestre, fondateur et patron du groupe Orchestra, spécialisé dans la puériculture, mode enfant et maternité et la troisième venant de Jellej Jouets, société contrôlée par le fonds d'investissement Cyrus Capital, et Picwic, fondée par Stéphane Mulliez. Cyrus Capital est par ailleurs l'un des créanciers de la maison mère américaine de Toys'R'Us » résume le quotidien français.
Que FIB réussisse ou non le coup de force de mettre dans son giron ces deux géants qui représentent en cumulé 18% des parts de marché, la tâche s’avère ardue. Les acteurs du jouet doivent travailler à prendre le virage numérique et se réorganiser. « Les différents candidats à la reprise de Toys'R'Us comme de La Grande Récré entendent ainsi transformer le modèle économique des magasins, pour en faire des lieux de vie ludique ou des enseignes offrant tout l'éventail des produits pour enfants, des vêtements aux jouets en passant par la puériculture. Ils estiment que seule une adaptation et une offre différenciée pourront permettre à ces groupes de survivre à la concurrence » analyse Le Figaro.