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Il fait bon travailler dans le luxe. D’après le cabinet Bain & Co, le marché mondial atteint les 260 milliards de dollars, soit 230 milliards d’euros en 2018. Le résultat d’une progression de 6% par rapport à l’année précédente. Quant à 2019, sans être catégorique le cabinet table sur une progression équivalente, de l’ordre de 4% à 6%.
« Plusieurs événements auraient pu enrayer l’expansion du secteur. A commencer par les tensions commerciales entre les Etats-Unis et la Chine. Outre-Atlantique, les touristes de nationalité chinoise se font plus rares dans les rues de Manhattan. Ce déclin pourrait handicaper le chiffre d’affaires de Tiffany, que les touristes plébiscitent lors de leurs achats de souvenirs. Prévue le 5 décembre, la publication des résultats du groupe américain, racheté par LVMH pour 14,7 milliards d’euros sera, dès lors, observée à la loupe » appuie Le Monde, comme pour souligner la performance exceptionnelle du secteur dans un contexte jugé inquiétant par nombre d’observateurs.
Les experts n’avaient pas vu complètement à côté d’ailleurs puisque les événements politique en Chine ont eu des incidences évaluées. La Suisse a ainsi enregistré une baisse de plus d’un point des exportations de montres en octobre 2019, qui serait causée par la crise politique à Hongkong. « Toutefois, les ténors du luxe restent impassibles. En témoignent les performances soutenues de LVMH, Kering, Hermès et Richemont. Grâce au maintien des ventes en Chine continentale à un haut niveau, tous ces groupes enregistrent une hausse de leurs ventes avoisinant ou surpassant les 10 % » précise Le Monde.
Signe de la concentration du secteur dans quelques mains, quand ces mastodontes du luxe vont bien, le secteur dans son ensemble performe. Avec 17% de croissance du chiffre d’affaires pour LVMH, 14,5% pour Kering quand Hermès ou Cartier – bien plus petits que les précédents – enregistrent aussi des progressions importantes.
« Plusieurs événements auraient pu enrayer l’expansion du secteur. A commencer par les tensions commerciales entre les Etats-Unis et la Chine. Outre-Atlantique, les touristes de nationalité chinoise se font plus rares dans les rues de Manhattan. Ce déclin pourrait handicaper le chiffre d’affaires de Tiffany, que les touristes plébiscitent lors de leurs achats de souvenirs. Prévue le 5 décembre, la publication des résultats du groupe américain, racheté par LVMH pour 14,7 milliards d’euros sera, dès lors, observée à la loupe » appuie Le Monde, comme pour souligner la performance exceptionnelle du secteur dans un contexte jugé inquiétant par nombre d’observateurs.
Les experts n’avaient pas vu complètement à côté d’ailleurs puisque les événements politique en Chine ont eu des incidences évaluées. La Suisse a ainsi enregistré une baisse de plus d’un point des exportations de montres en octobre 2019, qui serait causée par la crise politique à Hongkong. « Toutefois, les ténors du luxe restent impassibles. En témoignent les performances soutenues de LVMH, Kering, Hermès et Richemont. Grâce au maintien des ventes en Chine continentale à un haut niveau, tous ces groupes enregistrent une hausse de leurs ventes avoisinant ou surpassant les 10 % » précise Le Monde.
Signe de la concentration du secteur dans quelques mains, quand ces mastodontes du luxe vont bien, le secteur dans son ensemble performe. Avec 17% de croissance du chiffre d’affaires pour LVMH, 14,5% pour Kering quand Hermès ou Cartier – bien plus petits que les précédents – enregistrent aussi des progressions importantes.