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Un article en ligne du journal Le Figaro explique que le président de la SNCF « assure n'avoir jamais négocié en l'absence de Guillaume Pépy ».
L’article ajoute qu’à « force de multiplier les concessions, le gouvernement pourrait finir par allumer de nouveaux foyers de mécontentement. Afin d'enrayer la grogne sociale à la SNCF, le gouvernement a demandé à la compagnie des chemins de fer, entreprise publique à 100%, de se montrer plus conciliante avec les syndicats dans le cadre des négociations pour réformer l'organisation du temps de travail du groupe. »
Il précise que « le président de la compagnie de chemins de fer, Guillaume Pépy, a catégoriquement refusé arguant qu'il était indispensable pour le groupe de remettre à plat son organisation du travail - et notamment d'améliorer l'efficacité des 35 heures - pour rendre la compagnie plus compétitive face à ses concurrents. »
L’article ajoute qu’à « force de multiplier les concessions, le gouvernement pourrait finir par allumer de nouveaux foyers de mécontentement. Afin d'enrayer la grogne sociale à la SNCF, le gouvernement a demandé à la compagnie des chemins de fer, entreprise publique à 100%, de se montrer plus conciliante avec les syndicats dans le cadre des négociations pour réformer l'organisation du temps de travail du groupe. »
Il précise que « le président de la compagnie de chemins de fer, Guillaume Pépy, a catégoriquement refusé arguant qu'il était indispensable pour le groupe de remettre à plat son organisation du travail - et notamment d'améliorer l'efficacité des 35 heures - pour rendre la compagnie plus compétitive face à ses concurrents. »
La rumeur du départ de Guillaume Pépy
L’article du Figaro souligne qu’il n'en fallait pas plus « pour relancer les rumeurs de départ de celui qui dirige la SNCF depuis février 2008. Des bruits de couloir formellement démentis lundi après-midi par le groupe sur son compte Twitter. Une manière de communiquer plutôt rare pour une entreprise de ce calibre. »
Au sein de la SNCF, on assure : « Nous souhaitons, même sur des sujets sensibles, faire bouger les lignes de notre communication vers un mode plus rapide et qui répond à des besoins de réactivité. Le communiqué de presse est, certes, nécessaire mais de plus en plus daté ».
Lire l’intégralité de l’article du Figaro ici.
Au sein de la SNCF, on assure : « Nous souhaitons, même sur des sujets sensibles, faire bouger les lignes de notre communication vers un mode plus rapide et qui répond à des besoins de réactivité. Le communiqué de presse est, certes, nécessaire mais de plus en plus daté ».
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