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1,70 euro le litre de Diesel et 1,55 euro le litre de Sans Plomb 95 : voilà des prix quasiment normaux. Une moyenne nationale qui confirme la tendance à la baisse du carburant depuis maintenant des mois. « Malgré l'infime baisse de l'essence observée la semaine dernière, la tendance globale de baisse des prix à la pompe se poursuit. Elle est quasi ininterrompue depuis la mi-juin. Depuis, le litre de gazole a baissé de près de 44 centimes, et ceux de SP 95-E10 et de SP 98 de 60 centimes. Des prix aussi bas n'avaient plus été observés depuis le mois de février pour le gazole, et même depuis avril 2021 pour le SP 95-E10 » précise Le Figaro.
On aurait pu imaginer que l’effort public de bouclier sur les prix s’effacerait au fur et à mesure que les prix descendent, mais jusqu’ici cela n’a pas été le cas. « Il faut bien sûr noter que ces prix sont en partie artificiels. Ils sont en effet allégés par les ristournes du gouvernement (30 centimes d'euro par litre) et de TotalEnergies (20 centimes). Toutefois, la tendance durable à la baisse est aussi à chercher du côté des marchés du pétrole. Le baril de Brent, référence en Europe, s'échange aujourd'hui autour des 90 dollars, loin de son pic des 120 dollars du mois de juin, en raison des inquiétudes sur la croissance mondiale » explique en effet le quotidien français.
Si l’Etat lachait totalement son aide sur les prix à la pompe, les prix ne retrouveraient donc pas leur plus haut niveau d’avant l’été. Mais le 1er novembre prochain, les aides de l’Etat passeront de 3à à 10 centimes et celle de TotalEnergies de 20 à 10 centimes. « Avant de s'éteindre au 1er janvier. C'est aussi début 2023 que l'embargo européen sur le pétrole russe, en réaction à l'invasion de l'Ukraine, doit entrer en vigueur, ce qui ne devrait pas manquer de faire monter les cours de l'or noir. Et donc les prix à la pompe » conclue Le Figaro.
On aurait pu imaginer que l’effort public de bouclier sur les prix s’effacerait au fur et à mesure que les prix descendent, mais jusqu’ici cela n’a pas été le cas. « Il faut bien sûr noter que ces prix sont en partie artificiels. Ils sont en effet allégés par les ristournes du gouvernement (30 centimes d'euro par litre) et de TotalEnergies (20 centimes). Toutefois, la tendance durable à la baisse est aussi à chercher du côté des marchés du pétrole. Le baril de Brent, référence en Europe, s'échange aujourd'hui autour des 90 dollars, loin de son pic des 120 dollars du mois de juin, en raison des inquiétudes sur la croissance mondiale » explique en effet le quotidien français.
Si l’Etat lachait totalement son aide sur les prix à la pompe, les prix ne retrouveraient donc pas leur plus haut niveau d’avant l’été. Mais le 1er novembre prochain, les aides de l’Etat passeront de 3à à 10 centimes et celle de TotalEnergies de 20 à 10 centimes. « Avant de s'éteindre au 1er janvier. C'est aussi début 2023 que l'embargo européen sur le pétrole russe, en réaction à l'invasion de l'Ukraine, doit entrer en vigueur, ce qui ne devrait pas manquer de faire monter les cours de l'or noir. Et donc les prix à la pompe » conclue Le Figaro.