Les experts en management ont tendance a dresser des tableaux des différents types de travailleurs que l’on croise en entreprise. Ces grandes familles de caractères sont intéressantes pour les managers qui y retrouvent bien souvent des similitudes étonnantes avec les personnes de leur environnement de travail.
Parmi ces caractères, celui des « béni-oui-oui » constitue un véritable défi. Dans un article publié sur le site Atlantico.fr Marc Leibling dresse ce tableau ; « Impossible d’obtenir un avis honnête de ces gens. Cela peut être très frustrant car si l’on ne sait pas quelle est leur position, il est difficile de trouver la sienne. Quand on leur demande ce qu’ils pensent, ce qu’ils veulent ou ce qu’ils préfèrent, la plupart du temps leur réponse consiste à dire quelque chose comme : « Et vous, qu’en pensez- vous ? », « Comme vous voulez », « Je ferai comme tout le monde » ou « Tout ce que vous direz/voudrez/ferez m’ira très bien ». »
Parmi ces caractères, celui des « béni-oui-oui » constitue un véritable défi. Dans un article publié sur le site Atlantico.fr Marc Leibling dresse ce tableau ; « Impossible d’obtenir un avis honnête de ces gens. Cela peut être très frustrant car si l’on ne sait pas quelle est leur position, il est difficile de trouver la sienne. Quand on leur demande ce qu’ils pensent, ce qu’ils veulent ou ce qu’ils préfèrent, la plupart du temps leur réponse consiste à dire quelque chose comme : « Et vous, qu’en pensez- vous ? », « Comme vous voulez », « Je ferai comme tout le monde » ou « Tout ce que vous direz/voudrez/ferez m’ira très bien ». »
Honnête et remise en question
Face à ce type de personnalités, l’auteur de « Gérer les emmerdeurs » avance deux types de comportements adaptés. D’abord l’honnêteté : « Ces gens doivent être honnêtes. Sans être brutaux ou vexants, mais simplement honnêtes. Après tout, si leur bouche dit « Oui », alors que leur expression corporelle crie « Non » ou chuchote « Je ne suis pas sûr », leurs interlocuteurs recevront ces messages confus » explique-t-il.
Ensuite il conseille aux manageurs de se remettre en question. « Nous devons aussi parfois admettre que nous sommes les fautifs car il peut nous arriver de tout faire pour obtenir le « oui » que nous voulons entendre. À nous de faire en sorte d’obtenir de vraies réponses en changeant notre façon de poser des questions. Pour ce faire, nous pouvons poser des questions un peu plus intelligentes que « Oui ? C’est bon ? C’est clair ? », puisque la plupart des gens qui se sentent embarrassés ont tendance à répondre la première chose qui leur vient à l’esprit sans trop réfléchir. Et c’est ainsi qu’ils bredouillent un vague « Oui » ou « D’accord », ou encore « C’est très clair » alors que la panique les envahit. »
Ensuite il conseille aux manageurs de se remettre en question. « Nous devons aussi parfois admettre que nous sommes les fautifs car il peut nous arriver de tout faire pour obtenir le « oui » que nous voulons entendre. À nous de faire en sorte d’obtenir de vraies réponses en changeant notre façon de poser des questions. Pour ce faire, nous pouvons poser des questions un peu plus intelligentes que « Oui ? C’est bon ? C’est clair ? », puisque la plupart des gens qui se sentent embarrassés ont tendance à répondre la première chose qui leur vient à l’esprit sans trop réfléchir. Et c’est ainsi qu’ils bredouillent un vague « Oui » ou « D’accord », ou encore « C’est très clair » alors que la panique les envahit. »