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Six semaines de détention provisoire avec de nombreux interrogatoires. La chute est douloureuse pour l’un des patrons les plus puissants du monde. Carlos Ghosn, PDG de Renault, va pouvoir exprimer sa ligne de défense pour la première fois durant une audience fixée mardi 8 janvier. A l’approche de ce rendez-vous clé, le clan du chef d’entreprise monte en puissance pour défendre sa position. Dans une interview au magazine Le Journal du Dimanche, le fils de Carlos Ghosn, Anthony, 24 ans, s’est montré conquérant.
Le jeune homme a commencé par expliquer que le mois et demi de détention provisoire était le résultat du refus de son père à signer des aveux. D’après Anthony Ghosn, la justice japonaise a affirmé à son père que pour être libéré il devait valider une confession qui lui aurait été présentée en japonais, langue qu’il ne comprend pas. « « Le paradoxe, c’est que la confession qu’on lui demande de signer est écrite exclusivement en japonais », or « il ne parle pas cette langue », précise son fils. Depuis son incarcération, il peut « dire au procureur qu’il conteste ce qu’on lui reproche, ou au contraire avouer et être libéré. Depuis sept semaines, sa décision a été assez claire » » résume le fils du PDG de Renault, cité par 20 Minutes .
Le jeune homme, qui n’a pas de fonction au sein de Renault ou ses partenaires, a voulu démontrer la détermination de son père « prêt à se défendre de façon vigoureuse ». « Cette audience « va être très importante », ajoute-t-il. « Pour la première fois, il pourra s’exprimer sur les faits qu’on lui reproche, donner sa vision. Je pense que tout le monde sera assez surpris en entendant sa version de l’histoire. Jusqu’à maintenant, on a seulement entendu l’accusation. Il aura dix minutes pour s’exprimer » et « il ne lâchera rien », poursuit Anthony Ghosn » a-t-il précisé. Ce sera aussi l’occasion pour la justice japonaise de jouer carte sur table sur les éléments en leur procession qui ont justifié cette arrestation aux effets planétaires.
Le jeune homme a commencé par expliquer que le mois et demi de détention provisoire était le résultat du refus de son père à signer des aveux. D’après Anthony Ghosn, la justice japonaise a affirmé à son père que pour être libéré il devait valider une confession qui lui aurait été présentée en japonais, langue qu’il ne comprend pas. « « Le paradoxe, c’est que la confession qu’on lui demande de signer est écrite exclusivement en japonais », or « il ne parle pas cette langue », précise son fils. Depuis son incarcération, il peut « dire au procureur qu’il conteste ce qu’on lui reproche, ou au contraire avouer et être libéré. Depuis sept semaines, sa décision a été assez claire » » résume le fils du PDG de Renault, cité par 20 Minutes .
Le jeune homme, qui n’a pas de fonction au sein de Renault ou ses partenaires, a voulu démontrer la détermination de son père « prêt à se défendre de façon vigoureuse ». « Cette audience « va être très importante », ajoute-t-il. « Pour la première fois, il pourra s’exprimer sur les faits qu’on lui reproche, donner sa vision. Je pense que tout le monde sera assez surpris en entendant sa version de l’histoire. Jusqu’à maintenant, on a seulement entendu l’accusation. Il aura dix minutes pour s’exprimer » et « il ne lâchera rien », poursuit Anthony Ghosn » a-t-il précisé. Ce sera aussi l’occasion pour la justice japonaise de jouer carte sur table sur les éléments en leur procession qui ont justifié cette arrestation aux effets planétaires.