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Lors de ce sommet, le président Paul Kagame a exhorté les gouvernements africains de mettre en place des politiques publiques visant à mettre en place des conditions économiques, règlementaires, normatives et structurelles afin de réaliser la croissance tant souhaitée par le secteur privé. Car cette croissance se fait au service in fine des citoyens de ce continent.
Le président a déclaré que le développement économique et la croissance du continent dépendront largement du secteur privé. Cependant, pour que le décollage de l'économie qu'il considère comme une nécessité devant l'histoire, se mette en place, les gouvernements doivent améliorer l'environnement des affaires à l'échelle de chaque pays, de chaque région et de l'ensemble de l'UA.
« La prospérité future de l'Afrique sera assurée, en grande partie, par une croissance inclusive du secteur privé. Cependant, les gouvernements ont un grand rôle à jouer pour que cela devienne réalité », a déclaré le président.
Parmi ces aspects, le Président estime que les gouvernements doivent faciliter les affaires en éliminant les formalités administratives et les retards inutiles.
« Notre continent doit rattraper son retard et être compétitif à l'échelle mondiale. Nous ne pouvons pas nous permettre de gaspiller des opportunités à cause de la bureaucratie inutile et des retards qui y sont associés », a-t-il déclaré.
L'environnement des affaires peut encore être amélioré en accélérant l'intégration, ce qui permettrait aux pays de faire plus d'affaires entre eux et d'attirer plus d'investissements, a-t-il ajouté.« C'est pourquoi la coopération régionale devient de plus en plus centrale pour l'avenir de l'Afrique, comme en témoigne la zone de libre-échange tripartite signée à Sharm El Sheikh en 2015, qui rejoint le COMESA, la Communauté de l'Afrique de l'Est et la Communauté de développement de l'Afrique australe, sans parler de la plus grande zone de libre-échange continentale dirigée par l'Union africaine », a expliqué le Président Kagame. Le processus de réforme en cours de l'Union africaine, a-t-il dit, servira à accélérer la mise en oeuvre des accords.
Paul Kagame a également souligné l'importance d'accroître l'accès aux technologies de l'information et la connectivité à haut débit : « Le troisième exemple est de mettre la technologie de l'information et la connectivité à haut débit entre les mains de nos jeunes, en particulier les entrepreneurs. Telle est la logique de l'initiative « Smart Africa », basée à Kigali, avec plus de vingt États membres sur le continent. "Les économies prospères sont des économies du savoir », a-t-il déclaré.
Le Président égyptien Abdel Fattah Al Sisi, son hologue Alpha Condé de Guinée, également Président de l'Union Africaine, ainsi que leurs pairs ; Alassane Ouattara de Côte d'Ivoire, Mohamed Abdullahi Mohamed de Somalie, ainsi que Sindiso Ngwenya, Secrétaire général du Marché commun de l'Afrique orientale et australe (COMESA) ont également assisté à la session.
Le forum qui a attiré les chefs d'État et de gouvernement, ainsi que des dizaines de dirigeants de l'industrie et de délégués de toute l'Afrique aura permis de formuler ce qui peut être la feuille de route pour la multiplication des investissements intra-africains et l'essor accéléré de la collaboration transfrontalière.
Le président a déclaré que le développement économique et la croissance du continent dépendront largement du secteur privé. Cependant, pour que le décollage de l'économie qu'il considère comme une nécessité devant l'histoire, se mette en place, les gouvernements doivent améliorer l'environnement des affaires à l'échelle de chaque pays, de chaque région et de l'ensemble de l'UA.
« La prospérité future de l'Afrique sera assurée, en grande partie, par une croissance inclusive du secteur privé. Cependant, les gouvernements ont un grand rôle à jouer pour que cela devienne réalité », a déclaré le président.
Parmi ces aspects, le Président estime que les gouvernements doivent faciliter les affaires en éliminant les formalités administratives et les retards inutiles.
« Notre continent doit rattraper son retard et être compétitif à l'échelle mondiale. Nous ne pouvons pas nous permettre de gaspiller des opportunités à cause de la bureaucratie inutile et des retards qui y sont associés », a-t-il déclaré.
L'environnement des affaires peut encore être amélioré en accélérant l'intégration, ce qui permettrait aux pays de faire plus d'affaires entre eux et d'attirer plus d'investissements, a-t-il ajouté.« C'est pourquoi la coopération régionale devient de plus en plus centrale pour l'avenir de l'Afrique, comme en témoigne la zone de libre-échange tripartite signée à Sharm El Sheikh en 2015, qui rejoint le COMESA, la Communauté de l'Afrique de l'Est et la Communauté de développement de l'Afrique australe, sans parler de la plus grande zone de libre-échange continentale dirigée par l'Union africaine », a expliqué le Président Kagame. Le processus de réforme en cours de l'Union africaine, a-t-il dit, servira à accélérer la mise en oeuvre des accords.
Paul Kagame a également souligné l'importance d'accroître l'accès aux technologies de l'information et la connectivité à haut débit : « Le troisième exemple est de mettre la technologie de l'information et la connectivité à haut débit entre les mains de nos jeunes, en particulier les entrepreneurs. Telle est la logique de l'initiative « Smart Africa », basée à Kigali, avec plus de vingt États membres sur le continent. "Les économies prospères sont des économies du savoir », a-t-il déclaré.
Le Président égyptien Abdel Fattah Al Sisi, son hologue Alpha Condé de Guinée, également Président de l'Union Africaine, ainsi que leurs pairs ; Alassane Ouattara de Côte d'Ivoire, Mohamed Abdullahi Mohamed de Somalie, ainsi que Sindiso Ngwenya, Secrétaire général du Marché commun de l'Afrique orientale et australe (COMESA) ont également assisté à la session.
Le forum qui a attiré les chefs d'État et de gouvernement, ainsi que des dizaines de dirigeants de l'industrie et de délégués de toute l'Afrique aura permis de formuler ce qui peut être la feuille de route pour la multiplication des investissements intra-africains et l'essor accéléré de la collaboration transfrontalière.