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"L'économie française résiste encore au ralentissement mondial" peut-on lire dans un article en ligne du site Le Figaro. S'appuyant sur les derniers chiffres de l'Insee, le quotidien rapporte une progression de 0,3 point du PIB au troisième trimestre. Une progression en volume qui est au même niveau que les deux trimestres précédents. Pas de surprise donc, mais un petit soulagement tout de même pour l'exécutif qui voit les prévisions se réaliser. Ainsi, ce chiffre est "conforme à la prévision publiée le 3 octobre par l'organisme public, et identique à la croissance observée aux premier et second trimestres", poursuit l'article, qui précise qu'il "est également conforme à la dernière estimation de la Banque de France."
Ce trimestre, "la croissance a notamment été tirée par une légère augmentation de la consommation des ménages (+0,3% après +0,2%), qui a pu être favorisée par les mesures pour le pouvoir d'achat décidées au plus fort de la crise des «gilets jaunes»", ajoute Le Figaro.
En effet, comme le rappelle l'article, "depuis plusieurs mois, le gouvernement compte sur des dépenses accrues des Français pour dynamiser l'activité." De son côté, l'Insee estime "que la consommation des ménages en biens a rebondi (+0,4% après une baisse de 0,1% le trimestre précédent), compensant un ralentissement de la hausse des dépenses de consommation en services (+0,3% après +0,4%)." Et c'était justement le rebond de cette consommation des ménages qui était la priorité du gouvernement.
Ce trimestre, "la croissance a notamment été tirée par une légère augmentation de la consommation des ménages (+0,3% après +0,2%), qui a pu être favorisée par les mesures pour le pouvoir d'achat décidées au plus fort de la crise des «gilets jaunes»", ajoute Le Figaro.
En effet, comme le rappelle l'article, "depuis plusieurs mois, le gouvernement compte sur des dépenses accrues des Français pour dynamiser l'activité." De son côté, l'Insee estime "que la consommation des ménages en biens a rebondi (+0,4% après une baisse de 0,1% le trimestre précédent), compensant un ralentissement de la hausse des dépenses de consommation en services (+0,3% après +0,4%)." Et c'était justement le rebond de cette consommation des ménages qui était la priorité du gouvernement.