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Ce devait être le trimestre de la reprise, finalement le retrait s’est poursuivi. « Le produit intérieur brut (PIB) français a finalement reculé de 0,1% au premier trimestre, a indiqué vendredi l'Insee révisant ainsi fortement sa précédente estimation d'une croissance de 0,4%. Cette forte correction s'explique par « l'intégration de données sur la construction, nettement moins dynamiques que les extrapolations mobilisées lors de la première estimation », explique l'Insee dans un communiqué. L'activité dans ce secteur est ramenée à +0,5%, contre +4,2% précédemment. L'investissement y a été aussi beaucoup plus faible que ce qu'avait évalué l'Insee initialement » nous apprend Le Figaro.
Les domaines en progression l’ont été de façon bien trop timide pour que ce soit suffisant pour renouer avec la croissance. « Les autres composantes de l'activité sont également révisées, mais dans une moindre mesure : la consommation des ménages, encore fortement contrainte par les restrictions sanitaires en début d'année, n'a progressé que de 0,1% (contre 0,3%), la production est restée stable (contre +0,4%) et l'investissement n'est en hausse que de 0,2% (contre +2,2%) » appuie le quotidien.
L’étendue des dégâts du Covid n’est pas encore perceptible. Tant en dépenses publiques qu’en recul du PIB. « Ainsi au premier trimestre, le PIB restait encore 4,7% sous son niveau de fin 2019, juste avant le début de la crise sanitaire. L'Insee a également revu l'ampleur de la récession de l'économie française en 2020 : le PIB a finalement chuté de 8%, contre 8,2% précédemment estimé. Cette révision des données du premier trimestre réduit considérablement l'acquis de croissance, qui correspond à la croissance que l'on aurait fin 2021 si l'activité restait au niveau du premier trimestre jusqu'à la fin de l'année, pour 2021. Il se situe désormais à 3,5%, contre 4,1% estimé précédemment » liste Le Figaro. Une fois de plus, le travail de projection s’avère un casse-tête.
Les domaines en progression l’ont été de façon bien trop timide pour que ce soit suffisant pour renouer avec la croissance. « Les autres composantes de l'activité sont également révisées, mais dans une moindre mesure : la consommation des ménages, encore fortement contrainte par les restrictions sanitaires en début d'année, n'a progressé que de 0,1% (contre 0,3%), la production est restée stable (contre +0,4%) et l'investissement n'est en hausse que de 0,2% (contre +2,2%) » appuie le quotidien.
L’étendue des dégâts du Covid n’est pas encore perceptible. Tant en dépenses publiques qu’en recul du PIB. « Ainsi au premier trimestre, le PIB restait encore 4,7% sous son niveau de fin 2019, juste avant le début de la crise sanitaire. L'Insee a également revu l'ampleur de la récession de l'économie française en 2020 : le PIB a finalement chuté de 8%, contre 8,2% précédemment estimé. Cette révision des données du premier trimestre réduit considérablement l'acquis de croissance, qui correspond à la croissance que l'on aurait fin 2021 si l'activité restait au niveau du premier trimestre jusqu'à la fin de l'année, pour 2021. Il se situe désormais à 3,5%, contre 4,1% estimé précédemment » liste Le Figaro. Une fois de plus, le travail de projection s’avère un casse-tête.