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Le grand sauvetage du premier sur le deuxième n’a pas rassuré les bourses asiatiques. « Le plan de sauvetage de Credit Suisse par UBS, négocié dans l'urgence ce week-end par les autorités suisses pour éviter une panique bancaire mondiale, n'a pas rassuré les bourses asiatiques, les premières à « s'exprimer » sur cet accord donnant naissance à un géant bancaire au niveau mondial. Elles ont clôturé dans le rouge témoignant ainsi que le retour de la « confiance » des investisseurs mondiaux dans le système bancaire était loin d'être gagné », analyse La Tribune.
Cette réaction n’est qu’un symptôme des impressions des investisseurs sur la saga des banques suisses. Et si elle ne présage rien de mauvais – ni bon d’ailleurs – elle montre en tout cas que le secteur bancaire n’envoie pas de signaux rassurants. « Reste à voir désormais comment vont réagir les marchés européens à l'ouverture ce matin puis américains en début d'après-midi. Du Trésor américain à la Banque centrale européenne (BCE), le rachat de Credit Suisse par UBS, annoncé ce dimanche, a été unanimement salué. Il vise à éviter la faillite d'une banque dont la disparition aurait eu des répercussions sur l'ensemble du système financier mondial à l'heure où les marchés étaient fébriles par la récente chute de la Silicon Valley Bank et d'autres banques régionales aux Etats-Unis. Pour le président de la Confédération helvétique, Alain Berset, cette solution constitue « le meilleur moyen d'assurer la confiance ». Elle n'est pas seulement décisive pour la Suisse (...) mais pour la stabilité de l'ensemble du système financier » mondial, a-t-il ajouté » rapporte le site économique.
De manière générale, la fusion d’UBS et Credit Suisse – respectivement numéro un et deux du secteur bancaire du pays – va donner naissance à un mastodonte à la tête de 5 000 milliards de dollars d’actifs investis.
Cette réaction n’est qu’un symptôme des impressions des investisseurs sur la saga des banques suisses. Et si elle ne présage rien de mauvais – ni bon d’ailleurs – elle montre en tout cas que le secteur bancaire n’envoie pas de signaux rassurants. « Reste à voir désormais comment vont réagir les marchés européens à l'ouverture ce matin puis américains en début d'après-midi. Du Trésor américain à la Banque centrale européenne (BCE), le rachat de Credit Suisse par UBS, annoncé ce dimanche, a été unanimement salué. Il vise à éviter la faillite d'une banque dont la disparition aurait eu des répercussions sur l'ensemble du système financier mondial à l'heure où les marchés étaient fébriles par la récente chute de la Silicon Valley Bank et d'autres banques régionales aux Etats-Unis. Pour le président de la Confédération helvétique, Alain Berset, cette solution constitue « le meilleur moyen d'assurer la confiance ». Elle n'est pas seulement décisive pour la Suisse (...) mais pour la stabilité de l'ensemble du système financier » mondial, a-t-il ajouté » rapporte le site économique.
De manière générale, la fusion d’UBS et Credit Suisse – respectivement numéro un et deux du secteur bancaire du pays – va donner naissance à un mastodonte à la tête de 5 000 milliards de dollars d’actifs investis.