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Dans un communiqué, l'INSEE explique qu'après une diminution amorcée au milieu des années 1990, le taux de cohabitation avec les parents a de nouveau augmenté depuis le début des années 2000, poussé par la hausse du chômage et de la population étudiante. Pour les plus jeunes, habiter avec ses parents concerne surtout les étudiants, tandis que les 25-29 ans sont majoritairement actifs.
Parmi les actifs de 25-29 ans, ceux qui cohabitent sont moins bien insérés dans l'emploi : moins souvent cadres ou professions intermédiaires, ils occupent plus fréquemment des emplois à durée limitée et sont plus souvent au chômage.
Plus de huit adultes sur dix résidant chez leurs parents n'ont jamais vécu ailleurs.
En revanche, parmi les 25-29 ans, un jeune sur cinq est parti puis revenu, et un sur quatre après 30 ans. Le souhait de partir est plus fort pour ceux qui sont revenus habiter chez leurs parents.
Parmi les actifs de 25-29 ans, ceux qui cohabitent sont moins bien insérés dans l'emploi : moins souvent cadres ou professions intermédiaires, ils occupent plus fréquemment des emplois à durée limitée et sont plus souvent au chômage.
Plus de huit adultes sur dix résidant chez leurs parents n'ont jamais vécu ailleurs.
En revanche, parmi les 25-29 ans, un jeune sur cinq est parti puis revenu, et un sur quatre après 30 ans. Le souhait de partir est plus fort pour ceux qui sont revenus habiter chez leurs parents.