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La dette française a atteint 100,4% du PIB au troisième trimestre 2019. L’Insee vient d’annoncer la nouvelle, attirant l’attention sur le franchissement symbolique de la barre des 100%. Avec une augmentation de 0,9 point par rapport au trimestre précédent, il faut remonter jusqu’en 2017 pour avoir un tel niveau. Les 2ème et 3ème trimestre de cette année avaient vu un niveau d’endettement du pays atteindre 100,5% et 100,8%.
« Dans le détail, c’est surtout la dette de l’État qui augmente alors que celles des collectivités locales et de la Sécu diminuent. Ainsi, la contribution de l’État à l’endettement public au 3e trimestre croit de 41,6 milliards sur trois mois quand celles des administrations locales et de la Sécu régressent de 0,7 et 1,7 milliard. Ce taux, supérieur à 100%, devrait toutefois baisser au 4e trimestre, comme chaque année. La raison est simple : l’État s’endette toujours plus en début qu’en fin d’année, car il concentre ses émissions sur les premiers mois » explique Le Figaro.
Le gouvernement annonce que malgré cette hausse du troisième trimestre, le taux d’endettement de l’année 2019 sera inférieur à celui de 2018. Avec une moyenne de 98,7% espérée, ce serait 0,1 point de moins que l’année dernière. « Sans doute la forte progression des encours de dette au 3e trimestre, surprenante à cette période de l’année, aura pour conséquence de relever l’objectif final de fin d’année. En novembre, Bruxelles anticipait d’ailleurs un taux d’endettement de 98,9% du PIB pour Paris, soit le 5e niveau le moins bon de la zone euro » ajoute le quotidien français. Appuyant là où ça fait mal, le journal relève que « la dette est clairement le point faible du quinquennat Macron. » Rappelant que le président lors de la campagne présidentielle avait annoncé une baisse de cinq points de l’endettement. Avant d’aller jusqu’à promettre à Bruxelles, une fois élu, une baisse de 8 points d’ici 2022.
« Dans le détail, c’est surtout la dette de l’État qui augmente alors que celles des collectivités locales et de la Sécu diminuent. Ainsi, la contribution de l’État à l’endettement public au 3e trimestre croit de 41,6 milliards sur trois mois quand celles des administrations locales et de la Sécu régressent de 0,7 et 1,7 milliard. Ce taux, supérieur à 100%, devrait toutefois baisser au 4e trimestre, comme chaque année. La raison est simple : l’État s’endette toujours plus en début qu’en fin d’année, car il concentre ses émissions sur les premiers mois » explique Le Figaro.
Le gouvernement annonce que malgré cette hausse du troisième trimestre, le taux d’endettement de l’année 2019 sera inférieur à celui de 2018. Avec une moyenne de 98,7% espérée, ce serait 0,1 point de moins que l’année dernière. « Sans doute la forte progression des encours de dette au 3e trimestre, surprenante à cette période de l’année, aura pour conséquence de relever l’objectif final de fin d’année. En novembre, Bruxelles anticipait d’ailleurs un taux d’endettement de 98,9% du PIB pour Paris, soit le 5e niveau le moins bon de la zone euro » ajoute le quotidien français. Appuyant là où ça fait mal, le journal relève que « la dette est clairement le point faible du quinquennat Macron. » Rappelant que le président lors de la campagne présidentielle avait annoncé une baisse de cinq points de l’endettement. Avant d’aller jusqu’à promettre à Bruxelles, une fois élu, une baisse de 8 points d’ici 2022.