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Beaucoup plus qu’un contrat, Naval Group a scellé un accord historique entre la France et l’Australie. Les deux pays viennent en effet de signer un accord de partenariat stratégique (SPA) pour une collaboration de cinquante ans autour de sous-marins. La France était représentée par la ministre française des Armées, Florence Parly, qui a signé l’accord avec son homologue en présence du premier ministre australien.
« Le français, leader européen du naval de défense, avait gagné la compétition pour fournir à l'Australie 12 sous-marins océaniques, dérivés du Barracuda français, dans le cadre d'un transfert de technologie visant à doter l'Australie d'une capacité souveraine dans ce domaine. Le contrat, d'une valeur de 50 milliards de dollars australiens (31,2 milliards d'euros), comporte la conception en France puis la fabrication en Australie de 12 sous-marins dans un nouveau chantier naval ultramoderne qui sera érigé à Adélaïde. Naval Group doit signer dans quelques jours un premier contrat de design, qui donne le coup d'envoi du programme en tant que tel » contextualise Le Figaro.
Dans le domaine de la défense, c’est le plus gros contrat de défense que l’Australie signe avec un acteur européen. Tant par sa durée que par le transfert de technologie qui est compris dans le contrat, c’est indéniablement un rapprochement historique entre la France et le pays.
Du point de vue industrielle, c’est un carnet de commande rassurant pour Naval Group. « D'une valeur de 1,5 milliard d'euros sur quatre ans, il ouvre la période de conception du «Barracuda australien». Selon le calendrier prévu, la construction du premier bateau doit commencer en 2023 dans la perspective d'une livraison dix ans plus tard. De son côté, l'américain Lockheed Martin qui fournira les systèmes de combat, a ouvert une consultation pour choisir le futur fournisseur des sonars. Le français Thales est sur les rangs » conclue, ambitieux, Le Figaro.
« Le français, leader européen du naval de défense, avait gagné la compétition pour fournir à l'Australie 12 sous-marins océaniques, dérivés du Barracuda français, dans le cadre d'un transfert de technologie visant à doter l'Australie d'une capacité souveraine dans ce domaine. Le contrat, d'une valeur de 50 milliards de dollars australiens (31,2 milliards d'euros), comporte la conception en France puis la fabrication en Australie de 12 sous-marins dans un nouveau chantier naval ultramoderne qui sera érigé à Adélaïde. Naval Group doit signer dans quelques jours un premier contrat de design, qui donne le coup d'envoi du programme en tant que tel » contextualise Le Figaro.
Dans le domaine de la défense, c’est le plus gros contrat de défense que l’Australie signe avec un acteur européen. Tant par sa durée que par le transfert de technologie qui est compris dans le contrat, c’est indéniablement un rapprochement historique entre la France et le pays.
Du point de vue industrielle, c’est un carnet de commande rassurant pour Naval Group. « D'une valeur de 1,5 milliard d'euros sur quatre ans, il ouvre la période de conception du «Barracuda australien». Selon le calendrier prévu, la construction du premier bateau doit commencer en 2023 dans la perspective d'une livraison dix ans plus tard. De son côté, l'américain Lockheed Martin qui fournira les systèmes de combat, a ouvert une consultation pour choisir le futur fournisseur des sonars. Le français Thales est sur les rangs » conclue, ambitieux, Le Figaro.