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Un article en ligne du journal Capital souligne les points forts de l’économie néerlandaise, révélant ses « multiples atouts »
L’article explique que « le gouvernement néerlandais table sur une croissance du produit intérieur brut de 1,8% cette année, un rythme qui devrait être à nouveau plus élevé que la moyenne du vieux continent. »
Ainsi, « le chômage a été ramené de près de 8% en 2014 à moins de 7%, tandis que les autorités ont annoncé des réductions d’impôts pour les ménages, ce qui devrait soutenir la consommation. La croissance économique devrait aussi bénéficier de la progression des dépenses publiques dans la santé et la défense. »
Alors que « l’économie européenne dans son ensemble peine à remonter la pente, les Pays-Bas tirent leur épingle du jeu. Il faut dire que l’économie néerlandaise dispose d’importants atouts. »
L’article explique que « le gouvernement néerlandais table sur une croissance du produit intérieur brut de 1,8% cette année, un rythme qui devrait être à nouveau plus élevé que la moyenne du vieux continent. »
Ainsi, « le chômage a été ramené de près de 8% en 2014 à moins de 7%, tandis que les autorités ont annoncé des réductions d’impôts pour les ménages, ce qui devrait soutenir la consommation. La croissance économique devrait aussi bénéficier de la progression des dépenses publiques dans la santé et la défense. »
Alors que « l’économie européenne dans son ensemble peine à remonter la pente, les Pays-Bas tirent leur épingle du jeu. Il faut dire que l’économie néerlandaise dispose d’importants atouts. »
La diversification de l’économie néerlandaise
L’article de Capital explique que « les Pays-Bas pointent au 8ème rang mondial de la compétitivité, au classement du World Economic Forum. Le pays jouit notamment d’infrastructures de qualité (4ème rang mondial), d’un bon système de santé (5ème rang) et d’enseignement supérieur (3ème rang) et d’un haut niveau de diffusions des technologies (9ème). »
S’ajoute à cela une activité portuaire de premier plan. En effet, « le port de Rotterdam, fondé dès le Moyen-âge, a longtemps été le premier au monde. Dépassé ces dernières années par les grands ports asiatiques (Singapour, Shanghai, Tianjin, Qingdao, Canton, Ningbo…), qui ont massivement profité du décollage du continent, Rotterdam reste néanmoins le principal port européen, avec 465 millions de tonnes de marchandises traitées. »
Enfin, les Pays-Bas « étaient la première puissance commerciale du monde au XVIIème siècle, véritable âge d’or pour le pays. » Et l’article ajoute qu’aujourd’hui encore, « l’économie néerlandaise reste particulièrement ouverte et profite de l’essor du commerce international sur la durée. Alors que le pays ne compte que 17 millions d’habitants, il figure néanmoins parmi les 10 principaux exportateurs mondiaux, rapporte Julien Marcilly, économiste en chef de Coface. Les exportations, très en pointe dans les matières premières (pétrole, gaz naturel, denrées) et les produits manufacturiers à forte valeur ajoutée, sont bien diversifiées. »
Lire l’intégralité de l’article de Capital ici.
S’ajoute à cela une activité portuaire de premier plan. En effet, « le port de Rotterdam, fondé dès le Moyen-âge, a longtemps été le premier au monde. Dépassé ces dernières années par les grands ports asiatiques (Singapour, Shanghai, Tianjin, Qingdao, Canton, Ningbo…), qui ont massivement profité du décollage du continent, Rotterdam reste néanmoins le principal port européen, avec 465 millions de tonnes de marchandises traitées. »
Enfin, les Pays-Bas « étaient la première puissance commerciale du monde au XVIIème siècle, véritable âge d’or pour le pays. » Et l’article ajoute qu’aujourd’hui encore, « l’économie néerlandaise reste particulièrement ouverte et profite de l’essor du commerce international sur la durée. Alors que le pays ne compte que 17 millions d’habitants, il figure néanmoins parmi les 10 principaux exportateurs mondiaux, rapporte Julien Marcilly, économiste en chef de Coface. Les exportations, très en pointe dans les matières premières (pétrole, gaz naturel, denrées) et les produits manufacturiers à forte valeur ajoutée, sont bien diversifiées. »
Lire l’intégralité de l’article de Capital ici.