Les Carnets du Business saluent la naissance de l'Observatoire géostratégique de l'information. Placé sous l'égide de l'IRIS, il sera dirigé par François-Bernard Huyghe et d'Eddy Fougier, deux éminents spécialistes des questions géostratégiques.
Cet observatoire a pour but d’analyser l’impact de l’information mondialisée sur les relations internationales, de comprendre le développement des médias et l’importance stratégique de la maîtrise de l’information. Il analyse, par exemple les rapports de force entre puissances politiques et économiques et les firmes qui contrôlent le flux des informations dans le Monde.
Dans le cadre de son lancement, il consacre d'ailleurs un dossier passionnant sur un conflit digne d'un cas d'école: celui qui oppose ouvertement Google à la Chine, depuis l'éclatement de la crise de janvier.
On y prend conscience que "dans toute cette affaire, la victime ne sait jamais (ou ne peut jamais démontrer) qu’elle est attaquée par un acteur étatique (seul susceptible en principe d’accomplir des actes de guerre), par un groupe criminel privé, ou par des militants animés par une motivation idéologique et politique (comme des «hackers patriotes»). Au total, les frontières entre militaire, politique, criminalité économie et technologie ont été constamment remises en cause". (F.-B. Huyghe, Deux leçons stratégiques de la crise Chine Google, 30/03/10).
Le dossier est téléchargeable à cette adresse.
Le site de l'Observatoire géostratégique de l'information, pour sa part, mérite une place de choix dans nos favoris.
Cet observatoire a pour but d’analyser l’impact de l’information mondialisée sur les relations internationales, de comprendre le développement des médias et l’importance stratégique de la maîtrise de l’information. Il analyse, par exemple les rapports de force entre puissances politiques et économiques et les firmes qui contrôlent le flux des informations dans le Monde.
Dans le cadre de son lancement, il consacre d'ailleurs un dossier passionnant sur un conflit digne d'un cas d'école: celui qui oppose ouvertement Google à la Chine, depuis l'éclatement de la crise de janvier.
On y prend conscience que "dans toute cette affaire, la victime ne sait jamais (ou ne peut jamais démontrer) qu’elle est attaquée par un acteur étatique (seul susceptible en principe d’accomplir des actes de guerre), par un groupe criminel privé, ou par des militants animés par une motivation idéologique et politique (comme des «hackers patriotes»). Au total, les frontières entre militaire, politique, criminalité économie et technologie ont été constamment remises en cause". (F.-B. Huyghe, Deux leçons stratégiques de la crise Chine Google, 30/03/10).
Le dossier est téléchargeable à cette adresse.
Le site de l'Observatoire géostratégique de l'information, pour sa part, mérite une place de choix dans nos favoris.