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Sans moyens pour investir, la SNCF est un grand corps malade et encombrant. Raison pour laquelle l’Etat avait déjà prévenu qu’il volerait au secours du groupe. « L'Etat a annoncé ce mardi avoir souscrit à une augmentation de capital de la SNCF à hauteur de 4,05 milliards d'euros, conformément au plan de relance présenté en septembre dernier. Le gouvernement avait alors indiqué que le groupe public allait bénéficier de 4,7 milliards d'euros pour faire face à la crise sanitaire, dont ces 4,05 milliards de recapitalisation – le reste allant notamment aux petites lignes, au fret et aux trains de nuit » nous apprend BFMTV.
Dans un communiqué de presse à ce sujet, le ministère de l’Économie a expliqué que ce soutien visait à « soutenir les investissements de sa filiale SNCF Réseau en faveur de la régénération du réseau ferré national, du renforcement de la sécurité et du développement durable de ses activités. Ces investissements sont essentiels pour améliorer la qualité du système ferroviaire au bénéfice de tous : entreprises ferroviaires, voyageurs et chargeurs. »
2,3 milliards d’euros sont notamment attendus pour continuer des travaux sur le réseau. « 1,5 milliard d'euros sera affecté à des dépenses qui n'avaient pas encore été financées, comme la sortie du glyphosate pour désherber les voies, et 250 millions permettront à SNCF Réseau de reprendre certaines petites lignes dans son réseau structurant » appuie la chaine d’infos en continue.
Pour ne pas donner l’impression que cette allonge de taille est une opération blanche, le ministère de l’Économie assure qu’il y a eu des contreparties. Le groupe se serait ainsi engagé à aller plus loin dans le domaine de la RSE et en particulier la lutte contre le réchauffement climatique : « En particulier, le groupe SNCF s’engage à réduire de 30 % ses émissions de gaz à effet de serre entre 2015 et 2030 ».
Dans un communiqué de presse à ce sujet, le ministère de l’Économie a expliqué que ce soutien visait à « soutenir les investissements de sa filiale SNCF Réseau en faveur de la régénération du réseau ferré national, du renforcement de la sécurité et du développement durable de ses activités. Ces investissements sont essentiels pour améliorer la qualité du système ferroviaire au bénéfice de tous : entreprises ferroviaires, voyageurs et chargeurs. »
2,3 milliards d’euros sont notamment attendus pour continuer des travaux sur le réseau. « 1,5 milliard d'euros sera affecté à des dépenses qui n'avaient pas encore été financées, comme la sortie du glyphosate pour désherber les voies, et 250 millions permettront à SNCF Réseau de reprendre certaines petites lignes dans son réseau structurant » appuie la chaine d’infos en continue.
Pour ne pas donner l’impression que cette allonge de taille est une opération blanche, le ministère de l’Économie assure qu’il y a eu des contreparties. Le groupe se serait ainsi engagé à aller plus loin dans le domaine de la RSE et en particulier la lutte contre le réchauffement climatique : « En particulier, le groupe SNCF s’engage à réduire de 30 % ses émissions de gaz à effet de serre entre 2015 et 2030 ».