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L’emprunt est plus accessible mais pas forcément la propriété. On pourrait résumer ainsi la tendance actuelle. Pas de révolution dans le domaine mais quelques remarques intéressantes émises par l’Observatoire Crédit Logement. On apprend ainsi qu’en moyenne le taux d’emprunt – toutes durées confondues – est de 1,44%. C’est le niveau le plus faible depuis la fin de l’année 2016. L’Observatoire tient tout de même à rappeler qu’en 2001 le taux moen était à 5,62%. Une différence importante pour la nouvelle génération d’emprunteurs.
La tendance est logiquement favorable aux foyers les plus modestes qui n’ont pas d’apport personnel puisque les prêts les plus longs ont connu les baisses les plus fortes. « Mais les particuliers aux revenus élevés profitent également de conditions particulièrement avantageuses. C’est ainsi qu’une célibataire, âgée de 35 ans, gagnant plus de 6600 euros par mois, a obtenu un prêt de 272.000 euros à 0,5% sur 15 ans pour l’acquisition d’une résidence principale à Reims. Un couple, habitant Paris et percevant à deux 17.000 euros par mois, a emprunté un million d’euros à 1,08% sur 20 ans. Dans les deux dossiers gérés par le courtier Meilleurtaux.com, les particuliers n’avaient aucun apport personnel. Même constat chez l’un de ses concurrents Vousfinancer », raconte Le Figaro .
La guerre des taux et des avantages des banques est donc toujours un avantage pour les ménages. Des efforts ont ainsi été fait pour les primo accédants avec une durée moyenne d’emprunt qui est passée de 204 mois à 221 mois. Une tendance positive qui doit être nuancée par la hausse constante des prix de l’immobilier. « Conséquence: le pouvoir d’achat des ménages se dégrade. Dans près de trois-quarts (73%) des 34 villes de plus de 100.000 habitants, la surface achetable pour les appartements anciens baisse et même nettement pour 61% d’entre elles, selon l’Observatoire qui constate que «la dégradation de la solvabilité de la demande n’a pas été enrayée». Avec la réduction des aides publics, le coût des opérations réalisées par les ménages augmente. Ainsi, en dépit des conditions d’emprunt toujours aussi favorables, la demande de prêt se tasse » analyse le quotidien français.
La tendance est logiquement favorable aux foyers les plus modestes qui n’ont pas d’apport personnel puisque les prêts les plus longs ont connu les baisses les plus fortes. « Mais les particuliers aux revenus élevés profitent également de conditions particulièrement avantageuses. C’est ainsi qu’une célibataire, âgée de 35 ans, gagnant plus de 6600 euros par mois, a obtenu un prêt de 272.000 euros à 0,5% sur 15 ans pour l’acquisition d’une résidence principale à Reims. Un couple, habitant Paris et percevant à deux 17.000 euros par mois, a emprunté un million d’euros à 1,08% sur 20 ans. Dans les deux dossiers gérés par le courtier Meilleurtaux.com, les particuliers n’avaient aucun apport personnel. Même constat chez l’un de ses concurrents Vousfinancer », raconte Le Figaro .
La guerre des taux et des avantages des banques est donc toujours un avantage pour les ménages. Des efforts ont ainsi été fait pour les primo accédants avec une durée moyenne d’emprunt qui est passée de 204 mois à 221 mois. Une tendance positive qui doit être nuancée par la hausse constante des prix de l’immobilier. « Conséquence: le pouvoir d’achat des ménages se dégrade. Dans près de trois-quarts (73%) des 34 villes de plus de 100.000 habitants, la surface achetable pour les appartements anciens baisse et même nettement pour 61% d’entre elles, selon l’Observatoire qui constate que «la dégradation de la solvabilité de la demande n’a pas été enrayée». Avec la réduction des aides publics, le coût des opérations réalisées par les ménages augmente. Ainsi, en dépit des conditions d’emprunt toujours aussi favorables, la demande de prêt se tasse » analyse le quotidien français.