ILD
Le taux d’emprunt a retrouvé le même niveau qu’en février 2017. « En février, les taux des crédits (hors assurance et coût des sûretés) se sont établis en moyenne à 1,47 %, selon les données publiées lundi par l'Observatoire crédit logement-CSA qui fait figure de référence sur le marché français. Le coût du crédit s'est ainsi replié depuis le début de l'année (il était 1,49 % en janvier et 1,51 % en décembre) pour retrouver son niveau de février 2017 » annonce en effet le quotidien Les Echos.
« Cette faiblesse du coût du crédit s'explique d'abord par celle de l'environnement de taux, qui reste très bas sous l'effet de la politique de la Banque centrale européenne (BCE). Celle-ci ayant esquissé une réduction de son soutien massif à l'économie , les taux des crédits immobiliers s'étaient légèrement redressés en début d'année dernière avant de se replier à nouveau » explique le journal économique. Par ailleurs, les objectifs des établissements de crédits pour l’année 2018 restent importants en volume d’emprunts ce qui implique une politique de concurrence entre eux. Une tendance qui joue clairement sur la stabilité des taux bas.
La stabilisation des taux à ce faible niveau est évidemment positive pour nombre de ménages qui peuvent ainsi mettre en place des projets d’achat plus rapidement rentables. Pour autant, un grand nombre d’entre eux ne sont pas capables d’acheter à cause de l’augmentation des prix de l’immobilier dans de nombreuses villes, et ce malgré des taux bas. « « La dégradation de la solvabilité due à la hausse des prix constatée depuis six mois a été quatre fois plus forte que ce que la seule baisse des taux aurait pu absorber » explique l’Observatoire crédit logement-CSA. Une situation qui pousse l’organisme à regretter l’absence de politique publique efficace pour favoriser l’accès à la propriété.
« Cette faiblesse du coût du crédit s'explique d'abord par celle de l'environnement de taux, qui reste très bas sous l'effet de la politique de la Banque centrale européenne (BCE). Celle-ci ayant esquissé une réduction de son soutien massif à l'économie , les taux des crédits immobiliers s'étaient légèrement redressés en début d'année dernière avant de se replier à nouveau » explique le journal économique. Par ailleurs, les objectifs des établissements de crédits pour l’année 2018 restent importants en volume d’emprunts ce qui implique une politique de concurrence entre eux. Une tendance qui joue clairement sur la stabilité des taux bas.
La stabilisation des taux à ce faible niveau est évidemment positive pour nombre de ménages qui peuvent ainsi mettre en place des projets d’achat plus rapidement rentables. Pour autant, un grand nombre d’entre eux ne sont pas capables d’acheter à cause de l’augmentation des prix de l’immobilier dans de nombreuses villes, et ce malgré des taux bas. « « La dégradation de la solvabilité due à la hausse des prix constatée depuis six mois a été quatre fois plus forte que ce que la seule baisse des taux aurait pu absorber » explique l’Observatoire crédit logement-CSA. Une situation qui pousse l’organisme à regretter l’absence de politique publique efficace pour favoriser l’accès à la propriété.