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Aucune crise à venir mais une baisse générale. Les grandes villes arrêtent leur course effrénée vers le haut. « En parallèle de l'augmentation de l'offre de logements, la demande a faibli. Car la hausse des taux d'emprunt a rogné le budget des acheteurs et refroidi leur appétit. Ce sont notamment les primo-accédants qui peinent à devenir propriétaires depuis que le robinet du crédit facile, et peu cher, a cessé de couler. Comme les petits appartements se vendent moins bien et moins rapidement, leurs propriétaires mettent leurs projets d'achat en attente, ce qui grippe petit à petit l'intégralité du marché », rapporte Le Figaro dans un long article qui fait un bilan national du secteur.
Les acheteurs peuvent désormais plus négocier et cela se ressent sur le marché. « À Bordeaux, Lille, Lyon, Marseille, Montpellier, Nantes, Nice, Rennes, Strasbourg ou Toulouse, tous les professionnels constatent que des plafonds de prix ne peuvent plus être atteints. « Les pics de marché enregistrés après le confinement ne sont plus qu'un souvenir », relate Anne Monard Bretin, directrice de Guy Hoquet L'Immobilière du Plateau à Lyon. Malgré tout, les prix restent cohérents, car ils ne baissent pas de la même façon et pas dans les mêmes proportions. Après des années de surchauffe, le marché immobilier des grandes métropoles semble donc retrouver une certaine logique. L'érosion générale des tarifs devrait permettre aux acquéreurs de retrouver du pouvoir d'achat à moyen terme », ajoute le quotidien.
Avec des différences notables selon les villes, la tendance globale est à une rupture de la hausse et pour le moins un plafonnement des prix. Bordeaux et Lille connaissent un repli très attendu après des années de hausse tandis qu’à Lyon les prix continuent à diminuer du fait d’une augmentation record ces dernières années.
Seule Marseille semble faire exception avec une augmentation enregistrée en 2022. Mais là aussi, avec un peu de retard, le même phénomène semble se dessiner. « C'est notamment dans la tranche de budget de 150.000 à 300.000 € que le marché est en train de se gripper. Pour le moment, les prix s'érodent, de l'ordre de 1 à 3 % sur les 6 derniers mois, car l'offre de biens à vendre reste insuffisante, malgré la baisse de la demande. Seule nouveauté, « les logements en mauvais état ou avec des rénovations énergétiques peinent à trouver preneur, sauf si leur propriétaire affiche de réelles décotes », constate Vanessa Ducros, directrice de Top Immobilier Orpi » ajoute Le Figaro.
Lire ici en intégralité l’article du « Figaro »
Les acheteurs peuvent désormais plus négocier et cela se ressent sur le marché. « À Bordeaux, Lille, Lyon, Marseille, Montpellier, Nantes, Nice, Rennes, Strasbourg ou Toulouse, tous les professionnels constatent que des plafonds de prix ne peuvent plus être atteints. « Les pics de marché enregistrés après le confinement ne sont plus qu'un souvenir », relate Anne Monard Bretin, directrice de Guy Hoquet L'Immobilière du Plateau à Lyon. Malgré tout, les prix restent cohérents, car ils ne baissent pas de la même façon et pas dans les mêmes proportions. Après des années de surchauffe, le marché immobilier des grandes métropoles semble donc retrouver une certaine logique. L'érosion générale des tarifs devrait permettre aux acquéreurs de retrouver du pouvoir d'achat à moyen terme », ajoute le quotidien.
Avec des différences notables selon les villes, la tendance globale est à une rupture de la hausse et pour le moins un plafonnement des prix. Bordeaux et Lille connaissent un repli très attendu après des années de hausse tandis qu’à Lyon les prix continuent à diminuer du fait d’une augmentation record ces dernières années.
Seule Marseille semble faire exception avec une augmentation enregistrée en 2022. Mais là aussi, avec un peu de retard, le même phénomène semble se dessiner. « C'est notamment dans la tranche de budget de 150.000 à 300.000 € que le marché est en train de se gripper. Pour le moment, les prix s'érodent, de l'ordre de 1 à 3 % sur les 6 derniers mois, car l'offre de biens à vendre reste insuffisante, malgré la baisse de la demande. Seule nouveauté, « les logements en mauvais état ou avec des rénovations énergétiques peinent à trouver preneur, sauf si leur propriétaire affiche de réelles décotes », constate Vanessa Ducros, directrice de Top Immobilier Orpi » ajoute Le Figaro.
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