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La concurrence vient encore de Chine, mais pas seulement. Les producteurs français de caviar craignent aussi la montée en puissance des acteurs italiens du secteur. « La crise sanitaire, qui a entraîné la fermeture des restaurants et l'effondrement des ventes à l'export, ne pouvait pas être une bonne nouvelle pour les producteurs de caviar néo-aquitains. Mais la montée en puissance des productions chinoise et italienne, qui se livrent à une guerre sur les prix, est un problème encore plus inquiétant, estiment les professionnels. C'est pourquoi certains d'entre eux réclament la création d'une indication géographique protégée (IGP) Aquitaine, pour sortir du conflit par le haut » raconte La Tribune .
En cette période stratégique pour le caviar, la fermeture des restaurants est un coup dur aux effets économiques encore inconnus. « C'est la raison pour laquelle le président (PS) de la région Nouvelle-Aquitaine, Alain Rousset, a intégré le caviar dans son plan de communication de fin d'année ciblé sur cinq productions néo-aquitaines jugées à la fois comme très connues au niveau national et très sensibles à la crise du Covid-19. Ce qui se comprend mieux quand on sait que sur les sept producteurs de caviar répertoriés en France, six se trouvent en Nouvelle-Aquitaine » appuie le site d’informations économique dans son article dédié aux enjeux du caviar français.
La France est le troisième producteur mondial de caviar. En 2018, 43,5 tonnes ont été produits, plaçant le pays derrière la Chine et l’Italie. Mais pour défendre une stratégie de défense du secteur français, les acteurs demandent une meilleure indication de l’origine des caviar vendus pour ensuite communiquer, comme l’avait fait Pisciculteurs de France, avec son slogan « Exigez le caviar français ! »
« D'après la profession, le caviar importé de Chine couvre ainsi désormais 40 % des ventes en France. Un effet de la guerre des prix avec un marché du caviar où les Chinois n'hésitent pas à faire du dumping pour prendre l'avantage » souligne pertinemment La Tribune.
En cette période stratégique pour le caviar, la fermeture des restaurants est un coup dur aux effets économiques encore inconnus. « C'est la raison pour laquelle le président (PS) de la région Nouvelle-Aquitaine, Alain Rousset, a intégré le caviar dans son plan de communication de fin d'année ciblé sur cinq productions néo-aquitaines jugées à la fois comme très connues au niveau national et très sensibles à la crise du Covid-19. Ce qui se comprend mieux quand on sait que sur les sept producteurs de caviar répertoriés en France, six se trouvent en Nouvelle-Aquitaine » appuie le site d’informations économique dans son article dédié aux enjeux du caviar français.
La France est le troisième producteur mondial de caviar. En 2018, 43,5 tonnes ont été produits, plaçant le pays derrière la Chine et l’Italie. Mais pour défendre une stratégie de défense du secteur français, les acteurs demandent une meilleure indication de l’origine des caviar vendus pour ensuite communiquer, comme l’avait fait Pisciculteurs de France, avec son slogan « Exigez le caviar français ! »
« D'après la profession, le caviar importé de Chine couvre ainsi désormais 40 % des ventes en France. Un effet de la guerre des prix avec un marché du caviar où les Chinois n'hésitent pas à faire du dumping pour prendre l'avantage » souligne pertinemment La Tribune.