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L'État, qui détient 14 % du constructeur automobile PSA, gardera "sa part au capital", a promis François Hollande, lors de la visite du site du groupe à Charleville-Mézières dans les Ardennes.
Le Président de la République a ajouté : « Ici, je réaffirme que l'État gardera sa part au capital de PSA parce que c'est à la fois notre responsabilité et c'est votre garantie. Donc nous voulons rester au capital de PSA, même si une nouvelle majorité pourrait en décider autrement à l'issue de l'élection présidentielle en mai.
« L'État avait "fait son devoir" en entrant au capital du groupe automobile en 2013 », a ajouté le président Hollande, ajoutant qu'un actionnaire chinois l'avait également rejoint.
Le Président de la République a ajouté : « Ici, je réaffirme que l'État gardera sa part au capital de PSA parce que c'est à la fois notre responsabilité et c'est votre garantie. Donc nous voulons rester au capital de PSA, même si une nouvelle majorité pourrait en décider autrement à l'issue de l'élection présidentielle en mai.
« L'État avait "fait son devoir" en entrant au capital du groupe automobile en 2013 », a ajouté le président Hollande, ajoutant qu'un actionnaire chinois l'avait également rejoint.
Des ventes qui ont encore progressé en 2016
PSA avait frôlé la faillite en 2013. François Hollande souligne : « L'existence même du groupe était en cause, sa situation nécessitant une mobilisation exceptionnelle. » Un article du Point ajoute que « PSA n'avait alors dû son salut qu'à l'entrée au capital de l'État français et de l'entreprise chinoise Dongfeng Motor, devenus actionnaires de référence, à hauteur de 14 % chacun, tout comme la famille Peugeot.»
Depuis, le groupe s'est redressé : « les ventes mondiales du constructeur automobile ont encore progressé de 5,8 % en 2016. Seul bémol, Renault l'a coiffé sur le poteau, devenant l'an dernier le premier constructeur automobile français en volume, avec 3,18 millions de véhicules vendus dans le monde contre 3,15 pour PSA. »
En 2016 aussi, « le marché automobile français a retrouvé sa bonne santé, dépassant le seuil symbolique des deux millions d'immatriculations, une première également depuis 2011. »
Depuis, le groupe s'est redressé : « les ventes mondiales du constructeur automobile ont encore progressé de 5,8 % en 2016. Seul bémol, Renault l'a coiffé sur le poteau, devenant l'an dernier le premier constructeur automobile français en volume, avec 3,18 millions de véhicules vendus dans le monde contre 3,15 pour PSA. »
En 2016 aussi, « le marché automobile français a retrouvé sa bonne santé, dépassant le seuil symbolique des deux millions d'immatriculations, une première également depuis 2011. »