Source : Pixabay, image libre de droit.
Un article en ligne sur le site de RFI explique que dans « une longue interview confiée au quotidien Le Monde daté du dimanche 19 juin, il prévient que son pays sera intraitable lors du prochain Conseil européen du 28 juin. Et pour cause : la France aurait beaucoup à perdre si les Britanniques décidaient de quitter l'Europe. »
Une sortie totale envisagée
Emmanuel Macron l’affirme : « On ne peut pas laisser quelque ambiguïté planer et trop de temps s'écouler. »
Ainsi, « si les Britanniques souhaitent conserver un accès aux marché européen, ils devront contribuer au budget commun, comme le font les Norvégiens ou les Suisses, estime-il. Et le ministre français de l'Economie d'ajouter qu'en cas de refus, ce doit être une sortie totale. »
L’article de RFI se demande si « la France serait intéressée à ce que les Britanniques claquent la porte ? », ajoutant qu’en tant que « place financière Paris pourrait essayer de tirer profit d'un éventuel Brexit. Mais Francfort semble beaucoup mieux placée pour cela, surtout depuis son rapprochement avec la Bourse de Londres. »
Selon les spécialistes, « l'économie nationale aurait d'ailleurs davantage à y perdre à commencer par les entreprises françaises, pour lesquelles le Royaume Uni est souvent l'un des plus grands marchés à l'exportation. »
L’article de RFI ajoute que « l'agroalimentaire, la chimie ou encore les machines et les équipements risquent d'être les plus touchés, notamment en raison d'un retour des droits de douanes. »
Au total, « le Brexit pourrait coûter la France la perte de 0,4% de son PIB et 3,2 milliards d'euros. »
Lire l’intégralité de l’article de RFI ici.
Ainsi, « si les Britanniques souhaitent conserver un accès aux marché européen, ils devront contribuer au budget commun, comme le font les Norvégiens ou les Suisses, estime-il. Et le ministre français de l'Economie d'ajouter qu'en cas de refus, ce doit être une sortie totale. »
L’article de RFI se demande si « la France serait intéressée à ce que les Britanniques claquent la porte ? », ajoutant qu’en tant que « place financière Paris pourrait essayer de tirer profit d'un éventuel Brexit. Mais Francfort semble beaucoup mieux placée pour cela, surtout depuis son rapprochement avec la Bourse de Londres. »
Selon les spécialistes, « l'économie nationale aurait d'ailleurs davantage à y perdre à commencer par les entreprises françaises, pour lesquelles le Royaume Uni est souvent l'un des plus grands marchés à l'exportation. »
L’article de RFI ajoute que « l'agroalimentaire, la chimie ou encore les machines et les équipements risquent d'être les plus touchés, notamment en raison d'un retour des droits de douanes. »
Au total, « le Brexit pourrait coûter la France la perte de 0,4% de son PIB et 3,2 milliards d'euros. »
Lire l’intégralité de l’article de RFI ici.