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La ruée vers les actions de la FDJ a eu lieu. « Pour ses premiers pas très attendus à la Bourse de Paris , l’action de la Française des Jeux (FDJ) a ouvert en hausse de plus de 17% jeudi pour son premier jour de cotation à la Bourse de Paris. A 9h33, le titre progressait de 17,77% à 22,965 euros. Lors de la souscription, plus de 11 milliards d’euros d’actions ont été demandés, soit 1,6 milliard en provenance du grand public, et 10 milliards de la part des institutionnels a détaillé le ministre mercredi soir » raconte Le Figaro.
Pour l’Etat c’est une bonne nouvelle. Alors que le prix de l’action avait été envisagé entre 16,50 et 19,90, l’engouement annoncé et désormais vérifié, a plaidé en faveur du prix haut. Le groupe FDJ sort de cette séquence avec une valorisation impressionnante de 3,8 milliards d’euros. « Pour convaincre les petits épargnants d’investir, l’État leur avait accordé une décote de 2% sur le prix des titres, ainsi qu’une action gratuite pour 10 achetées à condition qu’elles soient détenues pendant 18 mois. Un total de 40,5% des actions mises sur le marché leur est revenu, précisait hier l’APE. Elle rappelle que l’État cède un total de 99,32 millions de titres, « pour un montant brut d’environ 1,888 milliard d’euros, soit environ 52% du capital de FDJ » » ajoute l’article cité plus haut.
Quel que soit la suite et le bilan à long terme pour les investisseurs, l’État de son côté fait une excellente opération comptable. 2,1 milliards d’euros lui reviennent dont 380 millions d’euros de soulte, cette somme que la FDJ doit verser pour garder le monopole sur les jeux d’argent pour les vingt-cinq prochaines années. Reste désormais à observer l’efficacité dans le réinvestissement de cette somme car, rappelons-le, la FDJ rapportait des millions d’euros de dividendes à l’État chaque année.
Pour l’Etat c’est une bonne nouvelle. Alors que le prix de l’action avait été envisagé entre 16,50 et 19,90, l’engouement annoncé et désormais vérifié, a plaidé en faveur du prix haut. Le groupe FDJ sort de cette séquence avec une valorisation impressionnante de 3,8 milliards d’euros. « Pour convaincre les petits épargnants d’investir, l’État leur avait accordé une décote de 2% sur le prix des titres, ainsi qu’une action gratuite pour 10 achetées à condition qu’elles soient détenues pendant 18 mois. Un total de 40,5% des actions mises sur le marché leur est revenu, précisait hier l’APE. Elle rappelle que l’État cède un total de 99,32 millions de titres, « pour un montant brut d’environ 1,888 milliard d’euros, soit environ 52% du capital de FDJ » » ajoute l’article cité plus haut.
Quel que soit la suite et le bilan à long terme pour les investisseurs, l’État de son côté fait une excellente opération comptable. 2,1 milliards d’euros lui reviennent dont 380 millions d’euros de soulte, cette somme que la FDJ doit verser pour garder le monopole sur les jeux d’argent pour les vingt-cinq prochaines années. Reste désormais à observer l’efficacité dans le réinvestissement de cette somme car, rappelons-le, la FDJ rapportait des millions d’euros de dividendes à l’État chaque année.