Optimiser les coûts
L’objectif premier est d’avoir une influence sur les dépenses. Celles-ci peuvent être facilement réduites en jouant sur les tâches administratives et logistiques, car ces dernières consomment beaucoup de ressources en termes de temps. Les organismes spécialisés dans ces fonctions sont rôdés et ils sont alors plus efficaces. Cela permet une économie de fonctionnement au niveau interne, d’autant plus que pour le cas de la formation on constate une baisse au sein des entreprises des personnes qualifiées pour effectuer ce type de tâches. De manière globale en fait, depuis la crise économique de 2008, le fonctionnement de l’entreprise s’est restreint à ses fonctions vitales et les effectifs ont été réduits. L’externalisation connait donc un succès auprès des entreprises, qui en sont de plus en plus demandeuses à la fois pour la flexibilité de cette démarche qui permet de répondre aux évolutions d’activités, mais aussi parce que cette solution leur permet d’alléger la structure interne du personnel de l’entreprise.
Octroyer une valeur ajoutée
Mais au-delà de l’allègement des dépenses et de la flexibilité que l’externalisation permet, d’autres avantages peuvent être soulignés. Partant du constat que l’environnement ultra-concurrentiel dans lequel les entreprises évoluent nécessite une formation continue des collaborateurs, l’externalisation de la formation propose un ensemble très varié de solutions de la phase d’élaboration du projet de formation à la recherche de financement, en passant par la gestion des frais et même la mise en place et la maintenance d’un système d’information spécialisé sur la formation.
Par ailleurs, les DRH avouent assez aisément que le principal obstacle à l’élaboration des plans de formations est le manque de temps(1) disponible par le personnel interne. L’externalisation est donc en même temps qu’une solution au manque de temps, une solution apportant une valeur ajoutée à la qualité de la formation puisqu’elle permet la comparaison des méthodes de travail avec les autres sociétés gérées par l’organisme formateur. Cette méthode propose en outre de repenser les systèmes d’information RH pour une meilleure efficacité et d’un autre côté, un atout peut aussi résider dans la qualité des formations externalisées. Certaines compétences qui ne pourraient pas être développées par le personnel de formation de l’entreprise peuvent alors faire l’objet d’une formation externe. Ainsi, le plan de formation peut devenir un véritable levier de compétitivité pour l’entreprise, à travers un travail au niveau du développement des compétences nouvelles, et de l’efficacité de ce développement en mettant notamment en relation l’apprentissage des compétences avec l’orientation stratégique de l’entreprise.
Toutefois, les sociétés françaises semblent favorables pour une externalisation de la gestion administrative à l’inverse de britanniques qui externaliseraient davantage la construction pédagogique ainsi que le pilotage des formations. L’externalisation ne se fait donc pas sans limites en France, puisque les entreprises souhaitent pour plus d’un tiers d’entre elles, gérer le processus de pilotage et/ou de diriger le prestataire sur ses actions de formation.
Par ailleurs, les DRH avouent assez aisément que le principal obstacle à l’élaboration des plans de formations est le manque de temps(1) disponible par le personnel interne. L’externalisation est donc en même temps qu’une solution au manque de temps, une solution apportant une valeur ajoutée à la qualité de la formation puisqu’elle permet la comparaison des méthodes de travail avec les autres sociétés gérées par l’organisme formateur. Cette méthode propose en outre de repenser les systèmes d’information RH pour une meilleure efficacité et d’un autre côté, un atout peut aussi résider dans la qualité des formations externalisées. Certaines compétences qui ne pourraient pas être développées par le personnel de formation de l’entreprise peuvent alors faire l’objet d’une formation externe. Ainsi, le plan de formation peut devenir un véritable levier de compétitivité pour l’entreprise, à travers un travail au niveau du développement des compétences nouvelles, et de l’efficacité de ce développement en mettant notamment en relation l’apprentissage des compétences avec l’orientation stratégique de l’entreprise.
Toutefois, les sociétés françaises semblent favorables pour une externalisation de la gestion administrative à l’inverse de britanniques qui externaliseraient davantage la construction pédagogique ainsi que le pilotage des formations. L’externalisation ne se fait donc pas sans limites en France, puisque les entreprises souhaitent pour plus d’un tiers d’entre elles, gérer le processus de pilotage et/ou de diriger le prestataire sur ses actions de formation.
(1) Selon une étude réalisée pour le CIMES en mois de janvier 2013.