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Au troisième trimestre, le Japon est entré en récession avec une baisse de 0,2% de son PIB.
Un article en ligne du journal Ouest France, d’après les informations d’agences, souligne les enjeux que représente cette récession au Japon.
Un article en ligne du journal Ouest France, d’après les informations d’agences, souligne les enjeux que représente cette récession au Japon.
« L’économie réelle est à l’arrêt »
L’article de Ouest France explique que « le Japon est retombé en récession au troisième trimestre selon les données préliminaires publiées ce lundi gouvernement », ajoutant que « ces dernières font état d'un recul du produit intérieur brut de 0,2% - soit 0,1 point de plus que les prévisions des analystes- sur la période de juillet à septembre, après une contraction d'autant au deuxième trimestre. »
Pour explication de cette rechute, l’article souligne « l'hésitation des entreprises à investir - recul de 1,3% des investissements non résidentiels -, signe de leur prudence face au ralentissement en Asie, en particulier en Chine, partenaire commercial majeur du Japon. »
L’économiste à l'institut de recherche NLI, Taro Saito explique : « l'économie réelle est à l'arrêt ». Il explique que « les sociétés sont réticentes à investir malgré des bénéfices solides. Elles étaient déjà frileuses, mais les incertitudes sur la conjoncture internationale ont renforcé cette tendance négative. »
Néanmoins, « la consommation des ménages - qui pèse pour 60% du produit intérieur brut - semble augurer d'un rebond : en berne depuis un douloureux relèvement de TVA en avril 2014, celle-ci s'est légèrement redressée (+0,5% sur un trimestre, contre -0,6% au deuxième trimestre) ».
L’article explique pour finir qu’« outre la consommation des ménages, les exportations, aidées par la dépréciation du yen vis-à-vis du dollar, enregistrent une croissance dynamique (+2,6 %). Un bilan nuancé qui s'est ressenti à la Bourse de Tokyo, où le Nikkei a fini en repli de 1,04% ce lundi. »
Lire l'intégralité de l'article d'Ouest France ici
Pour explication de cette rechute, l’article souligne « l'hésitation des entreprises à investir - recul de 1,3% des investissements non résidentiels -, signe de leur prudence face au ralentissement en Asie, en particulier en Chine, partenaire commercial majeur du Japon. »
L’économiste à l'institut de recherche NLI, Taro Saito explique : « l'économie réelle est à l'arrêt ». Il explique que « les sociétés sont réticentes à investir malgré des bénéfices solides. Elles étaient déjà frileuses, mais les incertitudes sur la conjoncture internationale ont renforcé cette tendance négative. »
Néanmoins, « la consommation des ménages - qui pèse pour 60% du produit intérieur brut - semble augurer d'un rebond : en berne depuis un douloureux relèvement de TVA en avril 2014, celle-ci s'est légèrement redressée (+0,5% sur un trimestre, contre -0,6% au deuxième trimestre) ».
L’article explique pour finir qu’« outre la consommation des ménages, les exportations, aidées par la dépréciation du yen vis-à-vis du dollar, enregistrent une croissance dynamique (+2,6 %). Un bilan nuancé qui s'est ressenti à la Bourse de Tokyo, où le Nikkei a fini en repli de 1,04% ce lundi. »
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