Source : Pixabay, image libre de droits.
Un article en ligne du journal Le Point, d’après une dépêche AFP, explique que « l'objectif est toujours là, mais que la Commission européenne reste sceptique. »
Toute la question est de savoir si « la France va ramener son déficit public sous la barre des 3 % du produit intérieur brut (PIB) en 2017 ? » L’article du Point souligne que « Bruxelles y croit peu, tablant plutôt sur 3,2 % après 3,4 % cette année, selon ses prévisions économiques d'hiver publiées jeudi. »
Toute la question est de savoir si « la France va ramener son déficit public sous la barre des 3 % du produit intérieur brut (PIB) en 2017 ? » L’article du Point souligne que « Bruxelles y croit peu, tablant plutôt sur 3,2 % après 3,4 % cette année, selon ses prévisions économiques d'hiver publiées jeudi. »
Une croissance des recettes fiscales trop faible
L’article du Point explique que « cette anticipation d'un déficit à 3,2 % est légèrement plus favorable que le 3,3 % qui était envisagé dans les dernières prévisions de l'exécutif européen publiées début novembre. »
Toutefois, « Bruxelles continue de penser que la France ne respectera pas son objectif, en raison d'une croissance des recettes fiscales trop faible pour compenser la dépense publique. »
Dans un communiqué, Bruxelles précise que « la croissance des recettes devrait s'accélérer mais à ‘seulement 2,3 %’ l'an prochain, après +1,9 % en 2016, ‘les réductions d'impôts pour les entreprises prévues dans le cadre du Pacte de responsabilité n'étant pas pleinement compensées’. »
Par ailleurs, le communiqué ajoute que « les dépenses de l'État et des soins de santé ‘devraient évoluer conformément aux tendances récentes’. » Comme l’explique Le Point, « à la mi-janvier, le vice-président de la Commission européenne, Valdis Dombrovskis, avait reproché à la France de tarder à mener les réformes structurelles nécessaires pour ‘corriger son déficit excessif’ d'ici 2017. »
L’article constate que « Paris s'est engagé à ramener le déficit public de 3,7 % du PIB en 2015 à 3,3 % cette année, avant de repasser en 2017, année des élections présidentielle et législatives, sous la barre symbolique des 3 % du PIB, fixée par le ‘pacte de stabilité’ européen. » Il ajoute que « consciente que Paris ne ramènerait pas son déficit sous 3 % en 2015, la Commission lui avait accordé un délai de deux ans pour s'exécuter. »
Lire l’intégralité de l’article du Point ici.
Toutefois, « Bruxelles continue de penser que la France ne respectera pas son objectif, en raison d'une croissance des recettes fiscales trop faible pour compenser la dépense publique. »
Dans un communiqué, Bruxelles précise que « la croissance des recettes devrait s'accélérer mais à ‘seulement 2,3 %’ l'an prochain, après +1,9 % en 2016, ‘les réductions d'impôts pour les entreprises prévues dans le cadre du Pacte de responsabilité n'étant pas pleinement compensées’. »
Par ailleurs, le communiqué ajoute que « les dépenses de l'État et des soins de santé ‘devraient évoluer conformément aux tendances récentes’. » Comme l’explique Le Point, « à la mi-janvier, le vice-président de la Commission européenne, Valdis Dombrovskis, avait reproché à la France de tarder à mener les réformes structurelles nécessaires pour ‘corriger son déficit excessif’ d'ici 2017. »
L’article constate que « Paris s'est engagé à ramener le déficit public de 3,7 % du PIB en 2015 à 3,3 % cette année, avant de repasser en 2017, année des élections présidentielle et législatives, sous la barre symbolique des 3 % du PIB, fixée par le ‘pacte de stabilité’ européen. » Il ajoute que « consciente que Paris ne ramènerait pas son déficit sous 3 % en 2015, la Commission lui avait accordé un délai de deux ans pour s'exécuter. »
Lire l’intégralité de l’article du Point ici.