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Il peut s’en passer des choses d’ici 2027, quand on réalise que la crise Covid 19 souffle à peine sa première bougie. C’est pourtant ce cap là que le gouvernement met en avant dans son plan de désendettement public. « Le gouvernement prévoit ainsi que la dette publique, qui a atteint le niveau record de 115,7 % du produit intérieur brut (PIB) l’an dernier, augmente encore jusqu’à 118,3 % en 2025, avant de baisser très légèrement à 118,2 % en 2026 puis de redescendre à 117,7 % en 2027. « Nous nous donnons cinq ans pour rétablir les finances publiques françaises », affirme le ministère de l’Économie, qui défend un objectif « ambitieux » mais aussi « le choix de la sincérité et de la responsabilité » » rapporte Sud Ouest.
Ce que l’on retient de ce plan est l’annonce de tour de vis importants dans la dépense publique sans aucune piste sur les domaines concernés. « Le gouvernement veut ainsi ramener sa hausse à +0,7 % par an en moyenne (hors dépenses d’urgence et de relance) jusqu’en 2027, contre une hausse de 1 % par an entre 2017 et 2019, et de 1,4 % par an durant la décennie 2010. Pour cela, il faut choisir les politiques publiques jugées prioritaires et engager des réformes structurelles, selon Bercy, en particulier celle des retraites, suspendue du fait de la crise » appuie le quotidien local.
De quoi largement annoncer la couleur des débats politiques des près de douze mois qui nous séparent de la présidentielle. Même si les projections et le calendrier font encore figure de science-fiction tant que l’on ne saura pas avec plus de certitude si les campagnes de vaccination permettent de tourner la page Covid. Réponse que l’on aura finalement qu’en automne prochain.
Ce que l’on retient de ce plan est l’annonce de tour de vis importants dans la dépense publique sans aucune piste sur les domaines concernés. « Le gouvernement veut ainsi ramener sa hausse à +0,7 % par an en moyenne (hors dépenses d’urgence et de relance) jusqu’en 2027, contre une hausse de 1 % par an entre 2017 et 2019, et de 1,4 % par an durant la décennie 2010. Pour cela, il faut choisir les politiques publiques jugées prioritaires et engager des réformes structurelles, selon Bercy, en particulier celle des retraites, suspendue du fait de la crise » appuie le quotidien local.
De quoi largement annoncer la couleur des débats politiques des près de douze mois qui nous séparent de la présidentielle. Même si les projections et le calendrier font encore figure de science-fiction tant que l’on ne saura pas avec plus de certitude si les campagnes de vaccination permettent de tourner la page Covid. Réponse que l’on aura finalement qu’en automne prochain.