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Ce pouvait difficilement être plus important qu’en juin. Le déficit commercial de la France en juillet a atteint 7 milliards d’euros, annoncent les douanes. Le solde des échanges de biens s'est ainsi amélioré de 1,1 milliard d'euros par rapport à juin, où il avait atteint un plus bas de 8,1 milliards d'euros, du fait des conséquences économiques de la crise sanitaire du Covid-19, qui a fait chuter les exportations bien plus que les importations » résume l’Agence France presse.
Les importations ont grimpé de 2,1 milliards d’euros, tandis qu’en juin une hausse de 5,3 milliards d’euros avait été enregistrée. Quand les exportations ont augmenté de 3,1 milliards d’euros en juin, contre 4,7 milliards d’euros de hausse en juin. « En particulier, "le solde des biens de consommation poursuit son redressement dans un contexte de reprise des échanges" à la faveur notamment d'un recul des approvisionnements en produits de l'industrie textile, dont les masques. Au deuxième trimestre, le déficit commercial a atteint 20,4 milliards, un niveau inédit depuis le premier trimestre de 2011 » précisie l’AFP.
Et d’ajouter, se fondant toujours sur les douanes, que « la balance des paiements, qui inclut les services comme le tourisme et les flux financiers, le déficit des transactions courantes s'améliore en conséquence, de 2,4 milliards par rapport à juin, pour atteindre 6,2 milliards, selon la Banque de France. Mais si la réduction du déficit commercial a permis cette amélioration, "les échanges de service en revanche n'ont pas renoué avec les excédents d'avant Covid, malgré une amélioration des services de voyages de 0,4 milliard d'euros". »
Dans ce domaine comme les autres, le rebond qui avait été présagé a bien eu lieu. Mais ici aussi, on peine à savoir s’il s’agit d’un début de reprise ou plutôt d’une tendance naturelle à l’augmentation après la chute drastique de l’activité. Et de ce point de vue, les signaux ne sont pas encore au vert.
Les importations ont grimpé de 2,1 milliards d’euros, tandis qu’en juin une hausse de 5,3 milliards d’euros avait été enregistrée. Quand les exportations ont augmenté de 3,1 milliards d’euros en juin, contre 4,7 milliards d’euros de hausse en juin. « En particulier, "le solde des biens de consommation poursuit son redressement dans un contexte de reprise des échanges" à la faveur notamment d'un recul des approvisionnements en produits de l'industrie textile, dont les masques. Au deuxième trimestre, le déficit commercial a atteint 20,4 milliards, un niveau inédit depuis le premier trimestre de 2011 » précisie l’AFP.
Et d’ajouter, se fondant toujours sur les douanes, que « la balance des paiements, qui inclut les services comme le tourisme et les flux financiers, le déficit des transactions courantes s'améliore en conséquence, de 2,4 milliards par rapport à juin, pour atteindre 6,2 milliards, selon la Banque de France. Mais si la réduction du déficit commercial a permis cette amélioration, "les échanges de service en revanche n'ont pas renoué avec les excédents d'avant Covid, malgré une amélioration des services de voyages de 0,4 milliard d'euros". »
Dans ce domaine comme les autres, le rebond qui avait été présagé a bien eu lieu. Mais ici aussi, on peine à savoir s’il s’agit d’un début de reprise ou plutôt d’une tendance naturelle à l’augmentation après la chute drastique de l’activité. Et de ce point de vue, les signaux ne sont pas encore au vert.