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Voilà une estimation qui permet d’évaluer le choc économique mondial. Entre 2019 et 2021, une étude de Euler Hermes estime que les défaillances d’entreprises vont augmenter de 35% dans le monde. Pour la France le cabinet évoque une augmentation de 25% et pour les États-Unis de 57%, sur cette même période.
Concernant l’Hexagone, l’étude estime que le gros des défaillances surviendra à la fin de l’année 2020 et se prolongera jusqu’à la moitié de l’année 2021. L’irrémédiable va donc se produire même si les reports de charges ou prêts garantis auront permis de faire gagner quelques mois aux entreprises les plus menacées. Le soutien ne pouvant être prolongé continuellement, ceux qui n’auront pas trouvé un nouveau souffle pour relancer la machine, feront défaut en décalé. « En effet, moins de 6.000 défaillances d'entreprises ont été enregistrées au cours du second trimestre selon la dernière étude du cabinet Altares publiée le 9 juillet. Cependant, "enmatière de volume, un triste record sera prochainement atteint : en 2021, plus de 64.000 défaillances d'entreprises sont attendues en France", anticipe Euler Hermes » lit-on dans les colonnes de La Tribune.fr .
L’étude souligne ainsi indirectement les effets positifs de la politique publique. Car si l’on compare avec la situation aux États-Unis ou d’autres pays européens, les chiffres 2020 sont éloquents. « Pour les Etats-Unis, où "la propagation rapide du virus a accentué le recul de l'activité économique et généré une crise des liquidités pour de très nombreuses entreprises", la hausse des défaillances sur la même période devrait atteindre 57%, précise Euler Hermes. Dans le détail, les défaillances croîtront à l'échelle mondiale de 17% cette année et de 16% l'an prochain, selon l'étude qui relève qu'en Europe, certains pays comme la Suède, l'Irlande, l'Italie et le Portugal seront touchés de plein fouet dès 2020 par cette vague qui atteindra surtout l'année prochaine d'autres Etats comme la France, le Royaume-Uni ou l'Allemagne » appuie le journal économique.
Mais le véritable bilan sera à effecteur à la fin de l’année 2021. C’est à ce moment que l’on pourra évaluer la portée des mesures publiques. Et savoir si ces dernières ont relancé l’économie ou seulement retardé les faillites.
Concernant l’Hexagone, l’étude estime que le gros des défaillances surviendra à la fin de l’année 2020 et se prolongera jusqu’à la moitié de l’année 2021. L’irrémédiable va donc se produire même si les reports de charges ou prêts garantis auront permis de faire gagner quelques mois aux entreprises les plus menacées. Le soutien ne pouvant être prolongé continuellement, ceux qui n’auront pas trouvé un nouveau souffle pour relancer la machine, feront défaut en décalé. « En effet, moins de 6.000 défaillances d'entreprises ont été enregistrées au cours du second trimestre selon la dernière étude du cabinet Altares publiée le 9 juillet. Cependant, "enmatière de volume, un triste record sera prochainement atteint : en 2021, plus de 64.000 défaillances d'entreprises sont attendues en France", anticipe Euler Hermes » lit-on dans les colonnes de La Tribune.fr .
L’étude souligne ainsi indirectement les effets positifs de la politique publique. Car si l’on compare avec la situation aux États-Unis ou d’autres pays européens, les chiffres 2020 sont éloquents. « Pour les Etats-Unis, où "la propagation rapide du virus a accentué le recul de l'activité économique et généré une crise des liquidités pour de très nombreuses entreprises", la hausse des défaillances sur la même période devrait atteindre 57%, précise Euler Hermes. Dans le détail, les défaillances croîtront à l'échelle mondiale de 17% cette année et de 16% l'an prochain, selon l'étude qui relève qu'en Europe, certains pays comme la Suède, l'Irlande, l'Italie et le Portugal seront touchés de plein fouet dès 2020 par cette vague qui atteindra surtout l'année prochaine d'autres Etats comme la France, le Royaume-Uni ou l'Allemagne » appuie le journal économique.
Mais le véritable bilan sera à effecteur à la fin de l’année 2021. C’est à ce moment que l’on pourra évaluer la portée des mesures publiques. Et savoir si ces dernières ont relancé l’économie ou seulement retardé les faillites.