Source : Pixabay, image libre de droits.
Un article en ligne du journal Le Point explique que « la débâcle boursière continue. » Ainsi, « mercredi, l'indice phare de la Bourse de Paris, le CAC 40, a reculé de 3,45 %, dans un mouvement général. À Francfort, le Dax a cédé 2,82 %, et à Londres, le footsie a chuté de 3,46 %... Aux États-Unis, le S&P 500 a lâché 1,17 %. La chute s'est poursuivie jeudi matin en Asie. À Tokyo, le Nikkei a reculé de 2,43 % et la Bourse chinoise de Shanghai de 3 %. »
L’article ajoute que « le début d'année 2016 est catastrophique : le CAC 40 s'est par exemple effondré de 11 %. »
L’article ajoute que « le début d'année 2016 est catastrophique : le CAC 40 s'est par exemple effondré de 11 %. »
La « débandade »
L’article précise qu’il est « difficile, vu de France, d'expliquer une telle débandade. Après trois ans de marasme, la croissance française s'est enfin redressée en 2015. Si le chiffre définitif n'est pas encore connu, il devrait dépasser 1 %. Et la tendance va s'accentuer en 2016 : le gouvernement espère que l'activité économique va progresser de 1,5 %, un chiffre pas totalement farfelu. »
L’article ajoute que « l'Hexagone profite d'un ‘alignement des planète’, selon l'expression de l'Élysée : une conjonction d'un euro faible (moins de 1,1 dollar), de taux d'intérêt bas et surtout d'un prix du pétrole favorable, tombé à moins de 30 dollars. »
Ainsi, « à elle seule, la baisse du prix de l'or noir a redonné quelque 20 milliards d'euros à l'économie française sous forme de pouvoir d'achat aux ménages (ils paient leur essence, voire leur chauffage, moins cher) et de marges aux entreprises en 2015. »
Lire l’intégralité de l’article du Point ici.
L’article ajoute que « l'Hexagone profite d'un ‘alignement des planète’, selon l'expression de l'Élysée : une conjonction d'un euro faible (moins de 1,1 dollar), de taux d'intérêt bas et surtout d'un prix du pétrole favorable, tombé à moins de 30 dollars. »
Ainsi, « à elle seule, la baisse du prix de l'or noir a redonné quelque 20 milliards d'euros à l'économie française sous forme de pouvoir d'achat aux ménages (ils paient leur essence, voire leur chauffage, moins cher) et de marges aux entreprises en 2015. »
Lire l’intégralité de l’article du Point ici.