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Dans l’erreur, il n’y a pas d’orioginalité. Raison pour laquelle « Le Figaro » tape juste en dressant la liste des erreurs à éviter lorsque l’on se lance dans l’entreprenariat. Le quotidien avance sept erreurs types qui sont commises par ceux qui décident de se lancer à leur compte. En effet, s’il y a autant de façons de réussir que d’entrepreneurs à succès, les échecs eux sont souvent causés par des erreurs très banales.
Examiner les motivations qui poussent à se lancer seul peuvent aider à ne pas commettre d’erreur. Ainsi, estime le quotidien, si c’est « pour ne plus avoir de patron » ou « pour l’argent », c’est risquer de se fourvoyer ou d’avoir une vision superficielle de ce qu’est l’entreprenariat. Car il y a des contraintes tant sur le fait de rendre compte que de faire des sacrifices et si les motivations ne sont pas plus profondes que ces deux dernières, l’échec est probable.
L’article conseille ensuite de trouver de bons allies pour travailler à un projet de façon plus efficace et limiter la probabilité de se tromper en ne prenant pas assez de recul. Mais aussi de – contrairement aux idées reçues – parler autour de soi de l’idée au cœur du projet pour bénéficier des conseils et des remarques. Le Figarosouligne les risques posés par de mauvais recrutements soit par méconnaissance dans le domaine ou par radinerie dans la rémunération. En somme recruter est un métier et intéresser des talents a un coût, contrairement à ce qui se fait dans nombre de startups et qui finit par poser de nombreux problèmes sur le long terme.
Enfin, l’article présente comme dernière erreur la tendance à voir la levée de fonds comme un objectif : « Mais l'entrepreneuriat ne rime pas forcément avec levée de fonds. (…) Et même lorsque les entrepreneurs souhaitent utiliser cet outil financier pour s'étendre à l'international notamment, la levée de fonds ne doit pas être considérée comme une fin en soi mais comme un moyen pour se développer. »
Lire en intégralité l’article du Figaro « Les sept erreurs à éviter pour lancer son entreprise »
Examiner les motivations qui poussent à se lancer seul peuvent aider à ne pas commettre d’erreur. Ainsi, estime le quotidien, si c’est « pour ne plus avoir de patron » ou « pour l’argent », c’est risquer de se fourvoyer ou d’avoir une vision superficielle de ce qu’est l’entreprenariat. Car il y a des contraintes tant sur le fait de rendre compte que de faire des sacrifices et si les motivations ne sont pas plus profondes que ces deux dernières, l’échec est probable.
L’article conseille ensuite de trouver de bons allies pour travailler à un projet de façon plus efficace et limiter la probabilité de se tromper en ne prenant pas assez de recul. Mais aussi de – contrairement aux idées reçues – parler autour de soi de l’idée au cœur du projet pour bénéficier des conseils et des remarques. Le Figarosouligne les risques posés par de mauvais recrutements soit par méconnaissance dans le domaine ou par radinerie dans la rémunération. En somme recruter est un métier et intéresser des talents a un coût, contrairement à ce qui se fait dans nombre de startups et qui finit par poser de nombreux problèmes sur le long terme.
Enfin, l’article présente comme dernière erreur la tendance à voir la levée de fonds comme un objectif : « Mais l'entrepreneuriat ne rime pas forcément avec levée de fonds. (…) Et même lorsque les entrepreneurs souhaitent utiliser cet outil financier pour s'étendre à l'international notamment, la levée de fonds ne doit pas être considérée comme une fin en soi mais comme un moyen pour se développer. »
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