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Difficile de tourner autour du pot. Ne plus acheter de la Corona en réaction aux infos sur le Coronavirus est de la bêtise profonde. Une réaction qui a pourtant été mesurée et semble bien réelle. Soulignée d’abord par BFMTV qui s’appuie sur Constellation Brands , la ressemblance entre le nom du virus et le nom de la bière a un impact sur le chiffre d’affaires du brasseur.
« La confusion est notamment liée à de nombreuses plaisanteries sur les réseaux sociaux, où le nom du virus est parfois associé à celui de la marque. Un phénomène qui a fini par nuire à l'image de la marque et se répercuter sur les ventes : en effet, les intentions d'achat sont au plus bas aux États-Unis. Selon un sondage YouGov, la popularité de la marque, très en vogue aux États-Unis, est en chute libre outre-Atlantique. Seulement 50% des Américains en ont actuellement une image positive, contre plus de 80% à l'été 2019 » rapport Le Figaro .
De là à imaginer que la société qui produit la bière va porter plainte contre ceux qui ont donné ce nom au virus, il n’y a qu’un pas. D’après les enquêtes d’opinion, depuis que le virus a été médiatisé, la part de consommateurs américains qui souhaitaient acheter une Corona dans les prochains jours a baissé de cinq points. Pour atteindre un niveau historiquement bas pour la marque.
Un signal de plus que la psychose collective a des effets concrets. Les diverses mesures de précaution envisagées ou prises continuent à doper l’agitation médiatique autour d’un virus dont on ne sait pas grand-chose. Mercredi 26 février, les chercheurs de la Fondation Méditerranée Infection de l’hôpital la Timone à Marseille ont lancé un appel au calme. Les épidémiologistes soulignent que les infections virales en général sont dangereuses, et pas seulement celle du Coronavirus.
« La confusion est notamment liée à de nombreuses plaisanteries sur les réseaux sociaux, où le nom du virus est parfois associé à celui de la marque. Un phénomène qui a fini par nuire à l'image de la marque et se répercuter sur les ventes : en effet, les intentions d'achat sont au plus bas aux États-Unis. Selon un sondage YouGov, la popularité de la marque, très en vogue aux États-Unis, est en chute libre outre-Atlantique. Seulement 50% des Américains en ont actuellement une image positive, contre plus de 80% à l'été 2019 » rapport Le Figaro .
De là à imaginer que la société qui produit la bière va porter plainte contre ceux qui ont donné ce nom au virus, il n’y a qu’un pas. D’après les enquêtes d’opinion, depuis que le virus a été médiatisé, la part de consommateurs américains qui souhaitaient acheter une Corona dans les prochains jours a baissé de cinq points. Pour atteindre un niveau historiquement bas pour la marque.
Un signal de plus que la psychose collective a des effets concrets. Les diverses mesures de précaution envisagées ou prises continuent à doper l’agitation médiatique autour d’un virus dont on ne sait pas grand-chose. Mercredi 26 février, les chercheurs de la Fondation Méditerranée Infection de l’hôpital la Timone à Marseille ont lancé un appel au calme. Les épidémiologistes soulignent que les infections virales en général sont dangereuses, et pas seulement celle du Coronavirus.