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A l’inverse de la tendance générale, les dépenses en biens durables ont augmenté de 0,5% au mois d'avril, du fait des achats d’automobiles principalement (+0,7%). On observe un ralentissement de la progression des achats en équipement du logement, qui continuent tout de même de croître (+0,2%). De même, la consommation en produits alimentaires a augmenté pour le deuxième mois consécutif (+1,1% en avril et +0,5% en mars). Elle avait enregistré une baisse de 0,9% sur l'ensemble du premier trimestre.
Concernant le textile, l’habillement et le cuir, les dépenses s’affichent à nouveau en baisse : -1,5% au mois d’avril, contre -1,7% enregistré le mois précédant. Il s’agit de la troisième baisse consécutive depuis février 2014. Les dépenses de consommation en autres biens fabriqués ont également reculé de -0,4%, après une hausse de +0,3% en mars, notamment en raison d’une baisse des achats en quincaillerie-bricolage.
La consommation des ménages en énergie s'est quant à elle nettement contractée (-3,3%) après un rebond en mars (+2,8%). Cette baisse est, selon l’Insee, la conséquence d’une hausse des températures, de nouveau au-dessus des normales de saison ; les dépenses pour le chauffage (électricité, gaz, fioul domestique...) sont ainsi moins élevées. Les dépenses en carburants ont également diminué.
Concernant le textile, l’habillement et le cuir, les dépenses s’affichent à nouveau en baisse : -1,5% au mois d’avril, contre -1,7% enregistré le mois précédant. Il s’agit de la troisième baisse consécutive depuis février 2014. Les dépenses de consommation en autres biens fabriqués ont également reculé de -0,4%, après une hausse de +0,3% en mars, notamment en raison d’une baisse des achats en quincaillerie-bricolage.
La consommation des ménages en énergie s'est quant à elle nettement contractée (-3,3%) après un rebond en mars (+2,8%). Cette baisse est, selon l’Insee, la conséquence d’une hausse des températures, de nouveau au-dessus des normales de saison ; les dépenses pour le chauffage (électricité, gaz, fioul domestique...) sont ainsi moins élevées. Les dépenses en carburants ont également diminué.