« L'avionneur américain Boeing a enregistré 499 commandes nettes depuis le début de l'année et livré 342 appareils, selon son bilan commercial portant sur les six premiers mois de l'année, publié jeudi sur son site internet » annonce l’Agence France presse dans une dépêche. C’est largement plus que l’avionneur européen qui, fin mai, « n'avait accumulé que 203 commandes nettes d'avions et livré 248 appareils, quand Boeing se targuait respectivement de 394 commandes et de 271 appareils livrés. »
Pour le dernier mois, Boeing a enregistré 105 commandes et livré 125 appareils. Il reste sur une dynamique stable puisque durant le deuxième trimestre de l’année 2014, 264 commandes et 181 livraisons ont été enregistrées. Résultat direct de ces chiffres, l’avionneur européen est largement distancé par son concurrent sur ce marché des gros porteurs où les deux sociétés se partagent presque en deux la demande mondiale. La concurrence est telle qu’il n’est pas excessif de considérer que chaque commande pour un groupe et une perte pour l’autre.
Pour le dernier mois, Boeing a enregistré 105 commandes et livré 125 appareils. Il reste sur une dynamique stable puisque durant le deuxième trimestre de l’année 2014, 264 commandes et 181 livraisons ont été enregistrées. Résultat direct de ces chiffres, l’avionneur européen est largement distancé par son concurrent sur ce marché des gros porteurs où les deux sociétés se partagent presque en deux la demande mondiale. La concurrence est telle qu’il n’est pas excessif de considérer que chaque commande pour un groupe et une perte pour l’autre.
2013, année record d’Airbus
Ces chiffres sont d’autant plus décevants pour l’Européen qu’ils sont les premiers à tomber après l’année record de 2013. L’an passé Airbus avait enregistré 1 503 commandes nettes contre 1 355 pour son rival, battant par la même occasion le record du secteur.
« L'an dernier, la flotte des Boeing 787 avait été clouée au sol pendant plusieurs mois après une série d'incidents techniques sur des appareils déjà en service, notamment deux débuts d'incendie » rappelle l’AFP. Pour le premier semestre, Boeing « semble aussi avoir mis de côté les difficultés connues avec son avion nouvelle génération » et s’appuie sur « son best-seller, le 737, qui représente à lui seul quasiment toutes ses commandes nettes à fin juin, soit 490 des 499 unités. » Airbus ne s’avoue pas vaincu pour autant et a annoncé, sans ajouter de détails, que 150 commandes avaient été enregistrées dernièrement.
« L'an dernier, la flotte des Boeing 787 avait été clouée au sol pendant plusieurs mois après une série d'incidents techniques sur des appareils déjà en service, notamment deux débuts d'incendie » rappelle l’AFP. Pour le premier semestre, Boeing « semble aussi avoir mis de côté les difficultés connues avec son avion nouvelle génération » et s’appuie sur « son best-seller, le 737, qui représente à lui seul quasiment toutes ses commandes nettes à fin juin, soit 490 des 499 unités. » Airbus ne s’avoue pas vaincu pour autant et a annoncé, sans ajouter de détails, que 150 commandes avaient été enregistrées dernièrement.