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En signant un memorandum pour se défendre de « l’agression économique de la Chine », Donald Trump a tapé là où ça fait mal et Pékin fourbit ses armes douanières. Le président américain a ainsi menacé son rival de mesures punitives pour 60 milliards de dollars. « La réplique chinoise ne s'est pas fait attendre: Pékin a dévoilé cette nuit une liste de 128 produits, ou lignes tarifaires, sur lesquelles elle se dit prête à appliquer des droits de douane de 15% ou 25%. La nouvelle a immédiatement fait plonger les Bourses asiatiques. À Tokyo, le Nikkei a perdu 4,51% à la clôture. La Bourse de Hong Kong a décroché de 3,07% tandis que celle de Shanghai a perdu 3,39%. Avant elles, les Bourses américaines avaient aussi décroché. À la clôture, le Dow Jones a plongé de 2,93%, signant sa plus forte baisse depuis le 8 février, et le Nasdaq a lâché 2,43% » raconte Le Figaro.
C’est une véritable guerre commerciale que se livrent les deux plus grandes puissances avec des enjeux financiers considérables. Un peu à la manière du fer avec l’Union européenne, Donald Trump met en place des mesures protectionnistes qui ont le don d’agacer les partenaires commerciaux du pays. Et si le président américain veut limiter le Made in China, Pékin est décidé à lui faire passer l’envie.
« Aujourd'hui, la Chine réplique en ciblant fruits frais, vin, éthanol, ginseng, tubes d'acier sans soudure (taxés à 15%) mais aussi la viande de porc et l'aluminium recyclé (frappés à hauteur de 25%). Certes, à environ 3 milliards de dollars, le montant concerné est faible et la liste ne comprend pas le soja, produit dans les États ayant soutenu Donald Trump pendant la campagne présidentielle, et que les Américains ont exporté en Chine à hauteur de 14 milliards de dollars l'an dernier » continue le quotidien français.
Dans cette opposition de géants, c’est la Chine qui semble le plus apte à négocier. Le pays a annoncé ces mesures mais n’a pas déclaré vouloir les mettre en pratique immédiatement. L’idée est de trouver un terrain d’entente. Le ton est cependant donné par le ministre du commerce : « La Chine n’a en aucun cas peu d’une guerre commerciale ».
C’est une véritable guerre commerciale que se livrent les deux plus grandes puissances avec des enjeux financiers considérables. Un peu à la manière du fer avec l’Union européenne, Donald Trump met en place des mesures protectionnistes qui ont le don d’agacer les partenaires commerciaux du pays. Et si le président américain veut limiter le Made in China, Pékin est décidé à lui faire passer l’envie.
« Aujourd'hui, la Chine réplique en ciblant fruits frais, vin, éthanol, ginseng, tubes d'acier sans soudure (taxés à 15%) mais aussi la viande de porc et l'aluminium recyclé (frappés à hauteur de 25%). Certes, à environ 3 milliards de dollars, le montant concerné est faible et la liste ne comprend pas le soja, produit dans les États ayant soutenu Donald Trump pendant la campagne présidentielle, et que les Américains ont exporté en Chine à hauteur de 14 milliards de dollars l'an dernier » continue le quotidien français.
Dans cette opposition de géants, c’est la Chine qui semble le plus apte à négocier. Le pays a annoncé ces mesures mais n’a pas déclaré vouloir les mettre en pratique immédiatement. L’idée est de trouver un terrain d’entente. Le ton est cependant donné par le ministre du commerce : « La Chine n’a en aucun cas peu d’une guerre commerciale ».