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Tout se jouera sur l’ampleur de la récession économique. Une réaction en chaine est attendue avec des entreprises qui vont mettre la clé sous la porte, tirée l’économie vers le bas et donc d’autres entreprises dans le rouge. Les conséquences de la crise économique mondiale qui nous guette va sérieusement rabattre les cartes dans la plupart des secteurs. D’après une étude de Coface publiée le 6 avril, les défaillances d’entreprises pourraient bien augmenter de 25% en 2020.
« S'il est encore tôt pour mesurer avec précision les répercussions de cette crise sanitaire sur le produit intérieur brut (PIB) mondial, la plupart des indicateurs avancés comme les indices PMI en Europe montrent un recul historique de l'activité dans les services et l'industrie. Résultat, les grands plans de soutien annoncés par les Etats et les grandes banques centrales ne devrait pas suffire à stopper le marasme économique inédit depuis "la seconde guerre mondiale", selon Bruno Le Maire » rapporte La Tribune.
Le site économique rapporte les propos du ministre devant le Sénat qui assurait que la crise serait bien plus grave que celle des subprimes : « Je n'ai jamais caché que cette crise serait violente et durable. J'ai fait une comparaison avec 1929 car je ne vois pas d'autres comparaisons dans le passé proche en termes de choc économique. C'est l'économie réelle qui est touchée. Les entrepreneurs, les industries les commerçants, les artisans, les professions libérales n'ont plus un euro de recettes [...] Nous serons très au delà des -2,9% de croissance enregistré lors de la crise de 2008-2009. C'est dire l'ampleur du choc économique. »
La crise s’annonce véritablement mondiale dans la mesure où toutes les économies nationales ou régionales vont être touchées dans leurs spécificités. Les sociétés post industrielles avec la faillite des entreprises mais aussi les exportateurs de matières premières ou d’énergie avec la chute des échanges et des prix. Un choc qui va s’étendre sur quasiment tous les secteurs qui explique cette prévision record de défaillances d’entreprises à l’échelle planétaire.
« S'il est encore tôt pour mesurer avec précision les répercussions de cette crise sanitaire sur le produit intérieur brut (PIB) mondial, la plupart des indicateurs avancés comme les indices PMI en Europe montrent un recul historique de l'activité dans les services et l'industrie. Résultat, les grands plans de soutien annoncés par les Etats et les grandes banques centrales ne devrait pas suffire à stopper le marasme économique inédit depuis "la seconde guerre mondiale", selon Bruno Le Maire » rapporte La Tribune.
Le site économique rapporte les propos du ministre devant le Sénat qui assurait que la crise serait bien plus grave que celle des subprimes : « Je n'ai jamais caché que cette crise serait violente et durable. J'ai fait une comparaison avec 1929 car je ne vois pas d'autres comparaisons dans le passé proche en termes de choc économique. C'est l'économie réelle qui est touchée. Les entrepreneurs, les industries les commerçants, les artisans, les professions libérales n'ont plus un euro de recettes [...] Nous serons très au delà des -2,9% de croissance enregistré lors de la crise de 2008-2009. C'est dire l'ampleur du choc économique. »
La crise s’annonce véritablement mondiale dans la mesure où toutes les économies nationales ou régionales vont être touchées dans leurs spécificités. Les sociétés post industrielles avec la faillite des entreprises mais aussi les exportateurs de matières premières ou d’énergie avec la chute des échanges et des prix. Un choc qui va s’étendre sur quasiment tous les secteurs qui explique cette prévision record de défaillances d’entreprises à l’échelle planétaire.