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"Le gouvernement allemand a annoncé un fonds fiduciaire spécial de 20 millions d'euros pour une collaboration entre le Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD) et l'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO)", explique dans un communiqué le Programme des Nations Unies pour le Développement. Cette collaboration permettra aux pays en développement "d'élaborer des plans agricoles et d'utilisation des sols plus efficaces et de présenter ainsi des Contributions déterminées au niveau national (CDN) plus ambitieuses à l'Accord de Paris".
Par le biais de son Initiative internationale sur le climat, le Ministère fédéral allemand de l'Environnement, de la Conservation de la nature et de la Sûreté nucléaire (BMU), financera cette collaboration de cinq ans (2020-2025) sur "l'intensification des efforts pour l'agriculture et l'utilisation des terres par la mise en oeuvre des Contributions déterminées au niveau national (CDN) et des Plans nationaux d'adaptation (PNA).»
Si, avant la prochaine décennie, les pays ne parviennent pas à accélérer leurs efforts de Contributions déterminées au niveau national, "l'élévation du niveau de la mer, les sécheresses, les inondations, l'augmentation des températures, l'évolution des précipitations et d'autres effets du changement climatique pousseront 100 millions de personnes en plus dans la pauvreté et déplaceront 200 millions de personnes", précise dans son communiqué le Programme des Nations Unies pour le Développement.
Pour ce dernier, "la transformation du secteur agricole est essentielle pour protéger les personnes vulnérables de ces impacts, pour réduire les émissions de gaz à effet de serre, pour créer des moyens de subsistance résistants au climat, pour mettre un terme à la faim et à la pauvreté de même que pour atteindre les cibles définies dans l'Accord de Paris et les objectifs de développement durable."
Par le biais de son Initiative internationale sur le climat, le Ministère fédéral allemand de l'Environnement, de la Conservation de la nature et de la Sûreté nucléaire (BMU), financera cette collaboration de cinq ans (2020-2025) sur "l'intensification des efforts pour l'agriculture et l'utilisation des terres par la mise en oeuvre des Contributions déterminées au niveau national (CDN) et des Plans nationaux d'adaptation (PNA).»
Si, avant la prochaine décennie, les pays ne parviennent pas à accélérer leurs efforts de Contributions déterminées au niveau national, "l'élévation du niveau de la mer, les sécheresses, les inondations, l'augmentation des températures, l'évolution des précipitations et d'autres effets du changement climatique pousseront 100 millions de personnes en plus dans la pauvreté et déplaceront 200 millions de personnes", précise dans son communiqué le Programme des Nations Unies pour le Développement.
Pour ce dernier, "la transformation du secteur agricole est essentielle pour protéger les personnes vulnérables de ces impacts, pour réduire les émissions de gaz à effet de serre, pour créer des moyens de subsistance résistants au climat, pour mettre un terme à la faim et à la pauvreté de même que pour atteindre les cibles définies dans l'Accord de Paris et les objectifs de développement durable."