Le secteur de la distribution a connu une petite révolution 2014 avec une pression particulièrement importante de la concurrence en cette période de consommation ralentie. Depuis 2012, comme ses concurrents directs, Casino avait donc décidé de mettre en place une vaste opération de baisse des prix.
En voulant suivre la tendance le groupe a été surpris par les conséquences sur ses résultats : « le distributeur stéphanois, qui avait au fil de l'année révisé en baisse ses prévisions de résultat pour cause de recul des ventes de ses enseignes alimentaires (hypermarchés Géant, supermarchés Casino et discount de proximité Franprix-Leader Price), a vu son résultat opérationnel courant reculer de 2,5% à 2,23 milliards d'euros en 2014, toutefois légèrement au-dessus de ses dernières anticipations » décrypte l’Agence de presse Reuters.
Cité par l’agence de presse, Jean-Charles Naouri explique que « en 2014, les baisses de prix décidées en France ont permis de repositionner les enseignes discount du groupe. »
En voulant suivre la tendance le groupe a été surpris par les conséquences sur ses résultats : « le distributeur stéphanois, qui avait au fil de l'année révisé en baisse ses prévisions de résultat pour cause de recul des ventes de ses enseignes alimentaires (hypermarchés Géant, supermarchés Casino et discount de proximité Franprix-Leader Price), a vu son résultat opérationnel courant reculer de 2,5% à 2,23 milliards d'euros en 2014, toutefois légèrement au-dessus de ses dernières anticipations » décrypte l’Agence de presse Reuters.
Cité par l’agence de presse, Jean-Charles Naouri explique que « en 2014, les baisses de prix décidées en France ont permis de repositionner les enseignes discount du groupe. »
Réajustement terminé, place aux bénéfices
« Cette démarche de réajustement tarifaire est désormais achevée. Le trafic et les volumes sont positifs depuis le quatrième trimestre 2014 » explique plus loin dans cette même dépêche Reuters.
Après la saignée, place aux résultats en somme. Le groupe espère que la faible tendance positive enregistrée fin 2014 se confirmera par la suite. La suite s’avère pourtant compliquée puisque si l’on regarde les chiffres de la concurrence, Casino n’est pas uniquement victime du ralentissement du secteur de la grande distribution. En effet, en 2014 le groupe Carrefour a lui vu ses ventes progresser en France.
En revanche, le groupe s’est voulu se montrer optimiste en mettant en avant deux leviers de croissance : l’internet et l’international. A l’international, le président du groupe a rappelé l’importance stratégique de l’Amérique du Sud et notamment le Brésil : le continent un tiers de ses ventes et a connu une croissance de 11%.
Après la saignée, place aux résultats en somme. Le groupe espère que la faible tendance positive enregistrée fin 2014 se confirmera par la suite. La suite s’avère pourtant compliquée puisque si l’on regarde les chiffres de la concurrence, Casino n’est pas uniquement victime du ralentissement du secteur de la grande distribution. En effet, en 2014 le groupe Carrefour a lui vu ses ventes progresser en France.
En revanche, le groupe s’est voulu se montrer optimiste en mettant en avant deux leviers de croissance : l’internet et l’international. A l’international, le président du groupe a rappelé l’importance stratégique de l’Amérique du Sud et notamment le Brésil : le continent un tiers de ses ventes et a connu une croissance de 11%.