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Les entreprises ont tant reçu de l’État ces derniers mois, qu’un geste de solidarité national est particulièrement bienvenu. Que ce soit avec le chômage partiel, des prêts garantis ou tout autre aide publique, les différentes vagues du Covid ont été traversées grâce au soutien public. Et alors que l’inflation pointe son nez, l’Etat s’apprête à mettre de nouveau la main au portefeuille. « À la suite de l'annonce par Jean Castex jeudi soir du versement d'une « indemnité inflation » de 100 euros pour les Français gagnant moins de 2000 euros nets par mois, Carrefour a décidé de faire un geste supplémentaire. Par la voix de son PDG Alexandre Bompard, le groupe de distribution a indiqué qu'il allait doubler cette aide pour ses salariés concernés. « Carrefour s'engage en faveur du pouvoir d'achat de ses salariés. À la suite des annonces du gouvernement, j'ai décidé de doubler l'indemnité inflation et de la porter à 200 euros pour l'ensemble des salariés concernés de Carrefour », a écrit Alexandre Bompard sur Twitter jeudi soir » relève Le Figaro .
Pour les entreprises, l’initiative est facilitée par le fait que c’est l’État qui va déterminer les conditions d’obtention de la prime. Carrefour, et les autres entreprises qui se joindraient à l’initiative, n’auront qu’à suivre le mouvement. « Annoncée par Jean Castex au journal de 20 Heures de TF1 en réponse à la flambée des prix des carburants et des inquiétudes sur le pouvoir d'achat, cette prime défiscalisée sera versée en une seule fois, automatiquement, et concernera les salariés, les indépendants, les chômeurs et bénéficiaires des minima sociaux, les retraités, les apprentis, ainsi que les étudiants boursiers et fiscalement autonomes. Elle devrait être distribuée aux salariés fin décembre 2021, aux employés de la fonction publique en janvier 2022 et aux retraités en février 2022. Cette mesure ponctuelle coûtera 3,8 milliards d'euros à l'État » explique le quotidien. Si la mobilisation des entreprises ne fera pas baisser la contribution publique, elle permettra au moins d’en exagérer l’impact et, peut-être, de permettre d’éviter des dépenses successives au cours de 2022.
Pour les entreprises, l’initiative est facilitée par le fait que c’est l’État qui va déterminer les conditions d’obtention de la prime. Carrefour, et les autres entreprises qui se joindraient à l’initiative, n’auront qu’à suivre le mouvement. « Annoncée par Jean Castex au journal de 20 Heures de TF1 en réponse à la flambée des prix des carburants et des inquiétudes sur le pouvoir d'achat, cette prime défiscalisée sera versée en une seule fois, automatiquement, et concernera les salariés, les indépendants, les chômeurs et bénéficiaires des minima sociaux, les retraités, les apprentis, ainsi que les étudiants boursiers et fiscalement autonomes. Elle devrait être distribuée aux salariés fin décembre 2021, aux employés de la fonction publique en janvier 2022 et aux retraités en février 2022. Cette mesure ponctuelle coûtera 3,8 milliards d'euros à l'État » explique le quotidien. Si la mobilisation des entreprises ne fera pas baisser la contribution publique, elle permettra au moins d’en exagérer l’impact et, peut-être, de permettre d’éviter des dépenses successives au cours de 2022.