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Le fameux « no deal » se concrétise. La situation est complexe entre le Royaume-Uni et Bruxelles depuis le référendum du 23 juin 2016. La demande de retrait a depuis été effectuée mais les conditions de sortie sont encore méconnues. La date officielle du divorce est pourtant fixée au 29 mars prochain. Sur son site internet, le gouvernement fait le point sur cette situation complexe.
« L'UE et le Royaume-Uni sont parvenus le 25 novembre 2018 à un accord sur l'intégralité de l'accord de retrait du Royaume-Uni de l'Union européenne, comme prévu à l'article 50 du traité sur l'Union européenne. Cet accord doit désormais être ratifié par les deux parlements, britannique et européen. Le vote du 15 janvier 2019 à la Chambre des Communes marque le début de la phase de ratification au Royaume-Uni ; malgré le résultat négatif de ce premier vote, l'accord peut encore être ratifié ultérieurement par le Royaume-Uni. En parallèle, poursuit la procédure de ratification de l'accord de retrait. L'accord de retrait établit les conditions du retrait du Royaume-Uni de l'UE. Il garantit que le retrait se fera de manière ordonnée et offre une sécurité juridique dès que les Traités et le droit européen cesseront de s'appliquer au Royaume-Uni » résume le texte publié par le cabinet du Premier ministre.
Mais à l’approche de la date butoir, chaque jour qui passe remet en question l’optimisme de façade. « Si aucun accord n'est ratifié à la date prévue pour le retrait du Royaume-Uni de l'Union européenne (le 29 mars 2019 à minuit), le Royaume-Uni sortira immédiatement de l'Union européenne, sans période de transition. Le droit de l'Union européenne cessera alors de s'appliquer au Royaume-Uni. Il s'agit là du scénario parfois qualifié de « no deal », « sortie sèche » ou « hard Brexit ».Les conséquences d'un retrait sans accord seraient majeures pour les citoyens européens et britanniques, pour les entreprises et pour les administrations. La France, même si elle souhaite toujours éviter ce scenario, se prépare à une sortie du Royaume-Uni sans accord de retrait le 30 mars 2019 » conclue le texte.
« L'UE et le Royaume-Uni sont parvenus le 25 novembre 2018 à un accord sur l'intégralité de l'accord de retrait du Royaume-Uni de l'Union européenne, comme prévu à l'article 50 du traité sur l'Union européenne. Cet accord doit désormais être ratifié par les deux parlements, britannique et européen. Le vote du 15 janvier 2019 à la Chambre des Communes marque le début de la phase de ratification au Royaume-Uni ; malgré le résultat négatif de ce premier vote, l'accord peut encore être ratifié ultérieurement par le Royaume-Uni. En parallèle, poursuit la procédure de ratification de l'accord de retrait. L'accord de retrait établit les conditions du retrait du Royaume-Uni de l'UE. Il garantit que le retrait se fera de manière ordonnée et offre une sécurité juridique dès que les Traités et le droit européen cesseront de s'appliquer au Royaume-Uni » résume le texte publié par le cabinet du Premier ministre.
Mais à l’approche de la date butoir, chaque jour qui passe remet en question l’optimisme de façade. « Si aucun accord n'est ratifié à la date prévue pour le retrait du Royaume-Uni de l'Union européenne (le 29 mars 2019 à minuit), le Royaume-Uni sortira immédiatement de l'Union européenne, sans période de transition. Le droit de l'Union européenne cessera alors de s'appliquer au Royaume-Uni. Il s'agit là du scénario parfois qualifié de « no deal », « sortie sèche » ou « hard Brexit ».Les conséquences d'un retrait sans accord seraient majeures pour les citoyens européens et britanniques, pour les entreprises et pour les administrations. La France, même si elle souhaite toujours éviter ce scenario, se prépare à une sortie du Royaume-Uni sans accord de retrait le 30 mars 2019 » conclue le texte.