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Moins bien que prévu mais tout de même satisfaisant. Alors que les organismes d’évaluation de l’activité économique française tablaient sur une croissance de 0,5% au troisième trimestre, l’Insee annonce que le PIB a probablement cru de 0,4%. Alors que durant les trimestres précédents, l’activité économique française était plombée la consommation des ménages et le commerce extérieur, la progression dans ces deux domaines a beaucoup aidé.
« Cette dernière (la consommation des ménages NDLR), qui avait reculé de 0,1 % au deuxième trimestre, a ainsi rebondi de 0,5 % entre juillet et septembre, tant dans le secteur des services (+ 0,3 % après + 0,1 % au trimestre précédent) que dans celui des biens (+ 0,6 % après − 0,4 %). Le rebond de l’activité a également été permis par l’investissement des entreprises, qui a de nouveau connu une forte progression (+ 0,8 % après + 0,9 % au deuxième trimestre), notamment dans les activités informatiques et dans l’automobile » détaille Le Monde .
Pour ce qui est du commerce extérieur, le rééquilibrage a aussi fait du bien. « entre juillet et septembre, les exportations ont ainsi grimpé de 0,7 % (après + 0,1 %), tandis que les importations ont ralenti (+ 0,3 % après + 0,7 %). Les échanges extérieurs, talon d’Achille de l’économie française, ont ainsi contribué « positivement à la croissance » à hauteur de 0,1 point, après l’avoir pénalisée de 0,2 point au deuxième trimestre » continue le journal en s’appuyant sur les chiffres de l’Insee.
Pour ce qui est de l’ensemble de l’année 2018, ces résultats ne font pas présager de bonne surprise au niveau de la croissance. Le pays se dirige vers une croissance conforme à la prévision de la Banque de France de 1,6%. Assez loin derrière les 2,2% de 2017 et un peu en dessous du 1,7% que le gouvernement prévoyait.
« Cette dernière (la consommation des ménages NDLR), qui avait reculé de 0,1 % au deuxième trimestre, a ainsi rebondi de 0,5 % entre juillet et septembre, tant dans le secteur des services (+ 0,3 % après + 0,1 % au trimestre précédent) que dans celui des biens (+ 0,6 % après − 0,4 %). Le rebond de l’activité a également été permis par l’investissement des entreprises, qui a de nouveau connu une forte progression (+ 0,8 % après + 0,9 % au deuxième trimestre), notamment dans les activités informatiques et dans l’automobile » détaille Le Monde .
Pour ce qui est du commerce extérieur, le rééquilibrage a aussi fait du bien. « entre juillet et septembre, les exportations ont ainsi grimpé de 0,7 % (après + 0,1 %), tandis que les importations ont ralenti (+ 0,3 % après + 0,7 %). Les échanges extérieurs, talon d’Achille de l’économie française, ont ainsi contribué « positivement à la croissance » à hauteur de 0,1 point, après l’avoir pénalisée de 0,2 point au deuxième trimestre » continue le journal en s’appuyant sur les chiffres de l’Insee.
Pour ce qui est de l’ensemble de l’année 2018, ces résultats ne font pas présager de bonne surprise au niveau de la croissance. Le pays se dirige vers une croissance conforme à la prévision de la Banque de France de 1,6%. Assez loin derrière les 2,2% de 2017 et un peu en dessous du 1,7% que le gouvernement prévoyait.