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Après avoir levé 500 millions de dollars (408 millions d’euros), Contentsquare est valorisé à 2,8 milliards de dollars. Grand pas pour l’entreprise, c’est un record pour le secteuren France. « Le précédent record de levée de fonds de capital risque pour une start-up non cotée était détenu par le spécialiste français des jeux vidéo Voodoo, qui a réalisé l'an dernier une levée de fonds de 400 millions d'euros, selon des estimations citées par le spécialiste GP Bullhound mais non confirmées par la société. Suit le spécialiste des téléphones reconditionnés Back Market avec 276 millions d'euros levés mi-mai » précise l’Agence France presse.
Les chiffres évoqués sont impressionnants pour une entreprise qui était le projet étudiant de son fondateur, Jonathan Cherki. La startup a été fondée en 2012. « L'entreprise vend des outils logiciels permettant d'analyser les comportements d'un internaute sur un site ou une application donnée (mouvements de la souris ou du doigt sur l'écran, temps passé sur une page, déplacement à l'intérieur du site...). Ces outils en tirent des recommandations pour le propriétaire du site, en vue de maximiser son « taux de conversion », c'est-à-dire la propension de l'internaute à acheter les biens ou services proposés. BMW, Rakuten, Sephora, Gucci ou Ikea notamment les utilisent » ajoute Le Figaro.
Avec 800 employés dont 350 en France, la structure profite à fond de la vague du commerce en ligne et de la soif des entreprises de capter des consommateurs très mouvants et difficile d’accès. Et s’il s’agit de la levée de fonds la plus importante française du secteur, c’est aussi parce que l’écosystème économique de Contentsquare est très international : « Comme beaucoup de jeunes pousses de la tech, Contentsquare reste très pudique sur son niveau de chiffre d'affaires. Mais il progresse vite, ayant doublé chaque année sur les 4 dernières années («+121% de croissance moyenne annuelle» sur la période, selon l'entreprise). Et il est réalisé à plus de 50% aux États-Unis. Contentsquare compte 800 salariés, dont 350 en France. Et la société prévoit d'embaucher 1.500 personnes dans les trois ans à venir, dans la recherche-développement et dans les équipes commerciales dans le monde en particulier. »
Les chiffres évoqués sont impressionnants pour une entreprise qui était le projet étudiant de son fondateur, Jonathan Cherki. La startup a été fondée en 2012. « L'entreprise vend des outils logiciels permettant d'analyser les comportements d'un internaute sur un site ou une application donnée (mouvements de la souris ou du doigt sur l'écran, temps passé sur une page, déplacement à l'intérieur du site...). Ces outils en tirent des recommandations pour le propriétaire du site, en vue de maximiser son « taux de conversion », c'est-à-dire la propension de l'internaute à acheter les biens ou services proposés. BMW, Rakuten, Sephora, Gucci ou Ikea notamment les utilisent » ajoute Le Figaro.
Avec 800 employés dont 350 en France, la structure profite à fond de la vague du commerce en ligne et de la soif des entreprises de capter des consommateurs très mouvants et difficile d’accès. Et s’il s’agit de la levée de fonds la plus importante française du secteur, c’est aussi parce que l’écosystème économique de Contentsquare est très international : « Comme beaucoup de jeunes pousses de la tech, Contentsquare reste très pudique sur son niveau de chiffre d'affaires. Mais il progresse vite, ayant doublé chaque année sur les 4 dernières années («+121% de croissance moyenne annuelle» sur la période, selon l'entreprise). Et il est réalisé à plus de 50% aux États-Unis. Contentsquare compte 800 salariés, dont 350 en France. Et la société prévoit d'embaucher 1.500 personnes dans les trois ans à venir, dans la recherche-développement et dans les équipes commerciales dans le monde en particulier. »