Le Royaume-Uni vient de donner un nouveau souffle au projet fou d’Amazon. Le géant de la livraison en ligne a en effet reçu l’autorisation pour débuter des tests pour la livraison par des drones. L’objectif est ambitieux dans ce projet baptisé Amazon Prime : « livrer des paquets en 30 minutes en toute sécurité aux consommateurs au Royaume-Uni et partout ailleurs dans le monde. »
« Aux Etats-Unis, la loi encadre l'utilisation des drones. Ils ne peuvent voler que dans un périmètre restreint, déterminé par le champ de vision de leurs pilotes. En revanche, au Royaume-Uni, Amazon a été autorisé à les faire voler sur des distances beaucoup plus longues, dans des zones rurales et suburbaines. Une avancée énorme pour le projet Air Prime, porté par Amazon depuis trois ans » précise le magazine L’Express.
« Aux Etats-Unis, la loi encadre l'utilisation des drones. Ils ne peuvent voler que dans un périmètre restreint, déterminé par le champ de vision de leurs pilotes. En revanche, au Royaume-Uni, Amazon a été autorisé à les faire voler sur des distances beaucoup plus longues, dans des zones rurales et suburbaines. Une avancée énorme pour le projet Air Prime, porté par Amazon depuis trois ans » précise le magazine L’Express.
Phase de tests cruciale
Plusieurs éléments doivent être consciencieusement pris en compte avant d’imaginer un lancement grandeur nature de l’opération. « L'autonomie des drones sera également testée. Amazon va évaluer ses technologies de détection pour que ses machines évitent les obstacles sans l'aide d'un pilote, qui aura la charge d'en contrôler plusieurs » explique le magazine.
Le déploiement à grande ampleur de l’opération, dont l’idée a été lancée pour la première fois en 2013, a beaucoup fait parler d’elle avant de rencontrer de nombreux problèmes. A tel point, que le projet a longtemps été dénigré par les commentateurs qui y ont vu un simple coup de communication, destiné à faire parler du groupe. Technologiquement possible, c’est l’aspect rentabilité et l’encadrement de l’utilisation commerciale de drones qui pose problème à une heure où les considérations sécuritaires sont d’une importance toute particulière.
Lire ici en intégralité l’article sur le site du magazine l’Express
Le déploiement à grande ampleur de l’opération, dont l’idée a été lancée pour la première fois en 2013, a beaucoup fait parler d’elle avant de rencontrer de nombreux problèmes. A tel point, que le projet a longtemps été dénigré par les commentateurs qui y ont vu un simple coup de communication, destiné à faire parler du groupe. Technologiquement possible, c’est l’aspect rentabilité et l’encadrement de l’utilisation commerciale de drones qui pose problème à une heure où les considérations sécuritaires sont d’une importance toute particulière.
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