En quête de restructuration Areva multiplie les approches pour se relancer sur le marché mondial de l’énergie. A quelques jours de l’annonce d’un protocole d’accord avec EDF, le patron du groupe, Philippe Varin, a ouvert quelques portes lors d’un entretien avec Le Journal du Dimanche (JDD). Le patron a ainsi estimé que c’était le moment pour la société de nouer des annonces « car elle est en croissance et a besoin de technologies. »
Ces mots dans a bouche de l’ancien patron de PSA Peugeot Citroën prennent un sens particulier. Pour rappel, c’est lui qui était à la tête du constructeur lors de l’entrée du groupe chinois Dongfeng dans le capital. En effet, explique une dépêche de l’Agence France presse, malgré l’accord avec EDF, « le groupe détenu à 87 % par l'État français (directement et indirectement) a chiffré ses besoins de financement à 7 milliards d'euros d'ici à 2017 et il lui reste donc environ 3,4 milliards d'euros à trouver. » Un investisseur de taille serait donc évidemment le bienvenue.
Ces mots dans a bouche de l’ancien patron de PSA Peugeot Citroën prennent un sens particulier. Pour rappel, c’est lui qui était à la tête du constructeur lors de l’entrée du groupe chinois Dongfeng dans le capital. En effet, explique une dépêche de l’Agence France presse, malgré l’accord avec EDF, « le groupe détenu à 87 % par l'État français (directement et indirectement) a chiffré ses besoins de financement à 7 milliards d'euros d'ici à 2017 et il lui reste donc environ 3,4 milliards d'euros à trouver. » Un investisseur de taille serait donc évidemment le bienvenue.
Après les opérations d’EDF et de l’Etat
« Le gouvernement s'est engagé à renflouer le groupe, mais refuse d'avancer un montant avant l'automne en attendant qu'Areva lui présente un nouveau plan de marche. Or, selon le JDD , le gouvernement ne serait prêt à apporter à Areva que deux milliards d'euros l'an prochain et Bercy, soucieux de limiter la facture pour l'Etat, est favorable à ce que le groupe aille chercher le reste auprès de partenaires chinois » continue la dépêche.
Le magazine du dimanche explique ainsi que « La recapitalisation pourrait se faire en deux temps : une opération menée par l'Etat l'an prochain, puis l'entrée des Chinois plus tard. Certains misent après l'élection présidentielle de 2017. Dans tous les cas, les négociations prendront du temps ».
Le magazine du dimanche explique ainsi que « La recapitalisation pourrait se faire en deux temps : une opération menée par l'Etat l'an prochain, puis l'entrée des Chinois plus tard. Certains misent après l'élection présidentielle de 2017. Dans tous les cas, les négociations prendront du temps ».