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« À huit mois de la présidentielle, une nouvelle ombre au tableau apparaît pour l'exécutif : celle d'un affrontement avec le PDG d'Alstom, Henri Poupart-Lafarge. Ce dernier reste inflexible sur son projet de quasi-fermeture de l'usine de Belfort, mais François Hollande a promis de tout faire pour la pérenniser », explique un article en ligne du journal Le Point.
En effet, la « direction du constructeur ferroviaire Alstom a affirmé mardi après-midi qu' « aucune décision » ne serait prise avant la fin des discussions engagées avec le gouvernement français sur l'avenir de son site de Belfort.
La direction du groupe assure : « Alstom confirme s'être engagé dans des discussions avec le gouvernement français sur l'avenir de son site de Belfort. Aucune décision ne sera prise avant leurs conclusions. »
En effet, la « direction du constructeur ferroviaire Alstom a affirmé mardi après-midi qu' « aucune décision » ne serait prise avant la fin des discussions engagées avec le gouvernement français sur l'avenir de son site de Belfort.
La direction du groupe assure : « Alstom confirme s'être engagé dans des discussions avec le gouvernement français sur l'avenir de son site de Belfort. Aucune décision ne sera prise avant leurs conclusions. »
Dix jours pour apporter des réponses aux salariés de Belfort
L’article du Point ajoute que « plusieurs syndicats à l'issue d'une rencontre à Bercy ont affirmé que le secrétaire d'État à l'Industrie,Christophe Sirugue, se donne dix jours pour apporter des réponses aux quelque 400 salariés de l'usine de Belfort. »
Stéphane Flégeau (CGT métallurgie), a quant à lui affirmé à la presse : « On a été écoutés », ajoutant que « des rencontres vont être organisées avec l'ensemble des acteurs de la filière (ferroviaire) dans les prochains jours. »
Lire l’intégralité de l’article du Point ici.