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Un article en ligne du Point, d’après une dépêche AFP, explique que « la rémunération du PDG du groupe Air France-KLM Alexandre de Juniac a été fixée au titre de l'année 2015 à 1,062 million d'euros, en hausse de 65 % grâce à une part variable indexée sur les résultats financiers », selon les informations qui figurent sur le document de référence du groupe.
Ainsi, le PDG du groupe a annoncé « début avril qu'il quitterait cet été ses fonctions de PDG pour rejoindre l'association du transport aérien international (IATA). »
L’article ajoute que « la rémunération d'Alexandre de Juniac est composée d'une part fixe de 600 000 euros et d'une rémunération variable qui a atteint en 2015 462 000 euros », selon le même document cité.
L’article du Point précise que « cette part variable repose principalement sur "la performance quantitative - l'excédent brut d'exploitation (EBITDA) et le free cash-flow étant supérieurs au budget" et de façon plus marginale sur la "performance qualitative". »
Il ajoute que « Ce dernier critère concerne "la mise en oeuvre de la stratégie du plan "Perform 2020" y compris la stratégie de développement du low cost, des partenariats long-courriers, et de la maintenance, satisfaction des passagers et progrès dans le processus d'intégration du groupe", selon le texte. »
Ainsi, le PDG du groupe a annoncé « début avril qu'il quitterait cet été ses fonctions de PDG pour rejoindre l'association du transport aérien international (IATA). »
L’article ajoute que « la rémunération d'Alexandre de Juniac est composée d'une part fixe de 600 000 euros et d'une rémunération variable qui a atteint en 2015 462 000 euros », selon le même document cité.
L’article du Point précise que « cette part variable repose principalement sur "la performance quantitative - l'excédent brut d'exploitation (EBITDA) et le free cash-flow étant supérieurs au budget" et de façon plus marginale sur la "performance qualitative". »
Il ajoute que « Ce dernier critère concerne "la mise en oeuvre de la stratégie du plan "Perform 2020" y compris la stratégie de développement du low cost, des partenariats long-courriers, et de la maintenance, satisfaction des passagers et progrès dans le processus d'intégration du groupe", selon le texte. »
« Injustice totale » pour le syndicat des pilotes
L’article explique que « le groupe franco-néerlandais a renoué avec les profits en 2015 pour la première fois depuis 2008, avec un bénéfice net de 118 millions, après 225 millions de pertes l'année précédente. »
Par conséquent, « pour redresser le groupe, Alexandre de Juniac a engagé un premier plan de restructuration, "Transform 2015", en 2012, qui s'est notamment traduit par la suppression de 5 500 postes. Un second plan, baptisé "Perform 2020", lui a succédé, mais il a donné lieu à des négociations tendues avec les syndicats. »
Lire l’intégralité de l’article du Point ici.
Par conséquent, « pour redresser le groupe, Alexandre de Juniac a engagé un premier plan de restructuration, "Transform 2015", en 2012, qui s'est notamment traduit par la suppression de 5 500 postes. Un second plan, baptisé "Perform 2020", lui a succédé, mais il a donné lieu à des négociations tendues avec les syndicats. »
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