Source : Pixabay, image libre de droits.
Un article en ligne du site www.rfi.fr explique ainsi que, « établis sur la base d’un baril du pétrole à 80 dollars fin 2014, les pays comme le Gabon ou le Congo avaient réduit leurs budgets 2015 en pleine exécution lorsque le cours de l’or noir est passé à 50 dollars. » Depuis le mois d’août dernier, il est « passé sous la barre de 40 dollars. »
Des conséquences néfastes dans de nombreux pays
L’article de RFI assure qu’ « un pays comme l’Algérie a vu ses énormes liquidités tirées des hydrocarbures fortement diminuer », et « le vote de la loi de finances 2016 fin novembre a enregistré une contestation sans précédent au sein même du FLN, le parti majoritaire. »
De plus, « au Tchad la forte chute des cours du pétrole se traduit par le retard du paiement des salaires aux fonctionnaires et l'accumulation des arriérés des bourses des étudiants. » Cependant, « le Tchad voit aussi ses dépenses exploser depuis qu'il s'est engagé, début 2015, dans la lutte contre le groupe terroriste Boko Haram. »
En outre, l’Angola aussi connaît des conséquences nocives pour son économie, alors qu’il reste « le deuxième producteur africain de pétrole. » Ainsi, « les employés de l’entreprise publique des transports à Luanda ont passé les deux dernières semaines de l’année en grève. Ils réclament 9 mois d’arriérés de salaire. »
Enfin, « dans un autre pays producteur d'or noir, le Gabon, le budget 2016 est en baisse par rapport à l’année dernière. Mais alors que les coupures affectent des secteurs comme l’éducation et la santé, la défense voit son budget augmenter de 19%. »
Lire l’intégralité de l’article de RFI ici.
De plus, « au Tchad la forte chute des cours du pétrole se traduit par le retard du paiement des salaires aux fonctionnaires et l'accumulation des arriérés des bourses des étudiants. » Cependant, « le Tchad voit aussi ses dépenses exploser depuis qu'il s'est engagé, début 2015, dans la lutte contre le groupe terroriste Boko Haram. »
En outre, l’Angola aussi connaît des conséquences nocives pour son économie, alors qu’il reste « le deuxième producteur africain de pétrole. » Ainsi, « les employés de l’entreprise publique des transports à Luanda ont passé les deux dernières semaines de l’année en grève. Ils réclament 9 mois d’arriérés de salaire. »
Enfin, « dans un autre pays producteur d'or noir, le Gabon, le budget 2016 est en baisse par rapport à l’année dernière. Mais alors que les coupures affectent des secteurs comme l’éducation et la santé, la défense voit son budget augmenter de 19%. »
Lire l’intégralité de l’article de RFI ici.