Des incubateurs au sein des écoles et des universités
Crédit photo : Brocken Inaglory
Si tous les espaces d’éducations ne présentent pas des structures dites d’incubateurs, beaucoup participent à l’aide à la création d’entreprises personnelles ou collectives. Les établissements supérieurs s’efforcent ainsi de prendre en compte leur rôle de tremplin dans la vie active des étudiants. Mais qu’est-ce qu’un incubateur ? C’est avant tout une structure permettant d’accompagner les projets de création d’entreprises. En principe, celle-ci présente des appuis en termes de conseil, de financement ou encore des formations spécifiques lors des premières années de vie de la société. C’est donc une structure en rapport avec la création, à la différence de la « pépinière d’entreprises » par exemple.
À l’université Lyon III, depuis mars 2013, un incubateur d’entreprises accueille cinq étudiants. Plusieurs espaces individuels et spécialisés leur permettent de travailler. D’autres aides sont plus anciennes comme à l’EM Lyon, où un incubateur existe déjà depuis 1984, sous le format d’un « Centre des Entrepreneurs ». Mais c’est en 2008 que l’école réinvente sa structure et son efficacité, en créant l’incubateur « EM Lyon Business School ». Avec l’accompagnement de 1200 projets concrétisés par la création de 800 entreprises, la structure permet la création de projets innovants orientés sur trois axes : « Premium », qui se concentre sur plusieurs domaines, sciences de la vie, biotechnologie, dispositifs médicaux ; informatique, télécom, nouvelles technologies ; énergie, environnement et écoconception. Vient ensuite un axe « Espoir » avec vingt entreprises montées par des étudiants ou jeunes diplômés, particulièrement dans le secteur des NTIC. Enfin, le troisième axe se concentre sur les « Entrepreneurs dans la ville ». Trente entreprises y sont ainsi choyées.
À l’université Lyon III, depuis mars 2013, un incubateur d’entreprises accueille cinq étudiants. Plusieurs espaces individuels et spécialisés leur permettent de travailler. D’autres aides sont plus anciennes comme à l’EM Lyon, où un incubateur existe déjà depuis 1984, sous le format d’un « Centre des Entrepreneurs ». Mais c’est en 2008 que l’école réinvente sa structure et son efficacité, en créant l’incubateur « EM Lyon Business School ». Avec l’accompagnement de 1200 projets concrétisés par la création de 800 entreprises, la structure permet la création de projets innovants orientés sur trois axes : « Premium », qui se concentre sur plusieurs domaines, sciences de la vie, biotechnologie, dispositifs médicaux ; informatique, télécom, nouvelles technologies ; énergie, environnement et écoconception. Vient ensuite un axe « Espoir » avec vingt entreprises montées par des étudiants ou jeunes diplômés, particulièrement dans le secteur des NTIC. Enfin, le troisième axe se concentre sur les « Entrepreneurs dans la ville ». Trente entreprises y sont ainsi choyées.
Une augmentation de la création d’entreprises par des étudiants issus des études supérieures
Un constat se doit d’être souligné : les étudiants du cycle secondaire s’orientent de plus en plus vers la création d’entreprises. Aussi des structures d’accompagnement semblent-elles se développer à cet égard. Chaque formation possède un objectif principal différent. Pour l’incubateur de l’EM Lyon, l’idée est de créer un dispositif afin de favoriser la conception de créations innovantes. Cela entre toutefois dans une conception large de l’innovation, puisque l’on regroupe les entreprises qui permettent de créer de la valeur.
Mais l’étudiant, le jeune diplômé, doit avant tout pour réussir, bien préparer son projet. Ainsi, une étude sérieuse du marché soutenue par un business model solide fait partie des conditions initiales indispensables pour prétendre à intégrer ce type d’incubateurs. Par ailleurs, l’entrepreneur doit accepter de prendre du recul par rapport à sa conception personnelle de son projet et explorer l’attente du client. Pour les accompagnateurs de ces projets entrepreneuriaux, la capacité des jeunes dirigeants à adapter son idée à la situation du marché est en effet cruciale. Elle reflète en effet sa capacité d’innovation et de création de valeur ajoutée auprès de la clientèle recherchée.
Mais l’étudiant, le jeune diplômé, doit avant tout pour réussir, bien préparer son projet. Ainsi, une étude sérieuse du marché soutenue par un business model solide fait partie des conditions initiales indispensables pour prétendre à intégrer ce type d’incubateurs. Par ailleurs, l’entrepreneur doit accepter de prendre du recul par rapport à sa conception personnelle de son projet et explorer l’attente du client. Pour les accompagnateurs de ces projets entrepreneuriaux, la capacité des jeunes dirigeants à adapter son idée à la situation du marché est en effet cruciale. Elle reflète en effet sa capacité d’innovation et de création de valeur ajoutée auprès de la clientèle recherchée.